Bon plus de peur que de mal !
La peinture est en bien meilleur état que ce ce que j'avais cru. Hors de question de faire un décapage complet.
Sans doute dû à la déprime causée par un sujet de bidouille bloqué par le chéchage du béton.
Le béton cha chèche pas vite, mais au bout de trois jours ch'est achez chec pour poser des trucs pas trop lourds et faire un peu de plache pour bricoler. Faudra encore attendre trois chemaines de pluche pour poser le chocle dechus.
Che chuis ni portugaische ni bérésilien ; juchte un cheveu chur le clavier. Ah, ça y est, il est parti.
Zut ! un postillon ; hhhhhhhhhhhhQSFDMMMMMMMMMMMMMXDXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
Ca y est, c'est essuyé, on peut continuer.
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La tête, couchée depuis un bon moment, montre une majestueuse érection après quelques coups de manivelle. Moi aussi, toutes proportions gardées
La courroie est dégagée par les ouïes, le moteur est déboulonne et déposé. Il est assez énorme pour un simple 1.5 ch. (non, c'est pas le cheveu qui nest revenu, ça veut dire cheval). Son carter (en alu) aussi. On accède à la courroie synchrone. Sous le carter tout cracra se trouve le harnais travaillant dans un bain d'huile. Il sera ouvert plus tard.
Une vis était cassée. Curieux : on y voit une fissuration ancienne (corrosion), mais la rupture elle même semble récente. Et pourtant, vue la couche de crasse, ça n'a pas dû être ouvert depuis belle lurette. peut être les vibrations et chocs lors du transport qui l'auront achevée.
Le moteur et le carter des poulies. Les roulements n'accrochent pas mais sont un peu bruyants. Ils seront remplacés. Ces pièces sont en alu et seront polies. Le moteur a une belle fonderie bien lisse. En revanche, celle du carter est très grossière : beaucoup de travail en vue.
Dépose du mécanisme du harnais. il sera ouvert demain.
Système de descnte de broche comme sur une perceuse (c'est une fraiseuse perceuse). Il y a de la graisse encore grasse, et de la graisse sèche, dont la consistance est celle d'un vieux mastic. La tête est déposée.
Séparation du bélier et de la tourelle. Put1 qu'il est lourd, le bélier ! La tourelle est quant à elle assez légère.
Un peu d'oxydation au milieu, sans aucune importance. L'aspect brun des glissières est simplement due à la graisse. Pas une trace de rouille dessous.
Les sous ensembles commencent à prendre un peu de place.
Comme on peut le voir aux bavures sur le vernier gradué, cette machine a déjà été repeinte. Je ne sais pas comment séparer le pivot du bélier. L'axe semble monté à la presse. Ca ne simplifira pas la mise en peinture.
Jusqu'à ce stade, tout ce que j'ai observé est en excellent état. Les roulements sont un peu fatigués, à l'exception de ceux de la broche (heureusement !)