Salut à tous,
Un dessin vaut mieux qu'un discours:
Ceci n'est qu'un dessin de principe, ne pas retenir les proportions comme référence.
Je rappelle aussi que cette méthode ne peut s'appliquer que dans le cas de guidages suffisamment rigides
pour conserver leur géométrie de fabrication et donc les tolérances.
Notamment, les "pieds" scellés peuvent être en laminé beaucoup plus large pour une meilleure assise.
Nota:
- dans le cas de laminé, Perso, je ferai déjà l'assemblage rail/laminé avec de l'époxy bien réparti, par simple poids, et ensuite, je mettrai les vis
- Dans le cas de rail en étiré plat, j'en mettrai une longueur sur champ pour qu'il garde une rigidité suffisante sur sa longueur au moment du collage sur le "pied" du laminé.
Les montages de solidarisation sont usinés ensembles pour avoir strictement les mêmes dimensions.
Ils sont disposé su la longueur des guidages pour former un ensemble monobloc suffisamment rigide pour
conserver la géométrie d'ensemble pendant la prise du scellement.
Pour les montages de solidarisation, ne retenir que le principe.
Il seront adaptés aus guidages réels et aux besoins éventuels de réglage de l'ensemble.
Afin de prévenir tout risque de flexion de l'ensemble, en phase de scellement,
celui-ci pourra être descendu à l'aide d'un palonnier répartissant la charge sur la longueur.
Les guidages sont représenté en plusieurs morceaux c'est une solution par assemblage vissé, voir vissés/collés.
Ces profilés peuvent se trouver tous faits en étiré (plus cher).
Toutes ces suggestions sont à prendre comme des principes qui sont à adapter à la situation réelle.
Le principe est que l'on prend au départ des matériaux qui ont des qualités géométriques satisfaisantes et que l'on s'arrange, à la fois à les conserver à chaque étape et à les propager progressivement jusqu'au montage final.
Les procédés utilisés visent aussi, et bien entendu à limiter au stricte nécessaire l'usinage, et que l'usinage résiduel reste tout à fait abordable au sens de la difficulté et au sens du coût.
Cdlt,
Yanik