Parce que c'est ainsi que j'ai toujours vu faire les fraiseurs professionnels avec leurs machines de plus de 2 tonnes. De mon point de vue c'est en opposition que la fraise est en meilleure position pour ENLEVER du copeau. Lorsque la machine le permet ( cela se passe au niveau des frottements des guidages linéaires et du jeu dans le couple vis/écrou) on réserve le travail en avalant à la dernière passe de finition. Cela s'explique parce que la rotation de la fraise fait avancer la pièce vers la fraise déjà naturellement empêchant la régularité d'avance que veut imposer la rotation de la vis. Bien sûr si on a monté une vis/écrou à rattrapage de jeu comportant une certaine contrainte cela se passe beaucoup mieux mais comme sur nos cnc les guidages linéaires n'offrent aucune résistance par frottement et comme les masses en mouvement sont très faibles, moi je t'invite TOUT SIMPLEMENT à essayer les deux méthodes et TU te feras TON opinion.
Blablablabla..... c'est comme cela que tu qualifies ce genre de post
Stan ! voyons.... ''Le bon sens oui parfois, la connaissance c'est TOUJOURS mieux'' est bien ta signature?
Moi aussi j'ai eu affaire à des anciens mais j'ai aussi lu quelques lignes d'ouvrages respectables qui disent tous ceci:
''
Le fraisage conventionnel, où l’usinage démarre avec une épaisseur
de copeau nulle, engendre des forces de coupe élevées qui
tendent à séparer la fraise de la pièce. La fraise doit être engagée
à force dans la pièce, ce qui crée un effet de frottement ou de galetage
accompagné d’un fort dégagement de chaleur et, souvent
aussi, un contact avec une surface écrouie résultant de l’usinage
précédent. Les forces de coupe ont également tendance à soulever
la pièce au-dessus de la table de la machine, ce qui oblige
donc à faire très attention à la tenue du montage.
Dans le cas du fraisage en avalant, la fraise démarre avec une
forte épaisseur de copeau. Cela évite l’effet de galetage, avec
réduction du dégagement de chaleur et de la tendance à l’écrouissage.
Cette forte épaisseur de copeau est un élément favorable et
les forces de coupe tendent à presser la pièce contre la fraise,
maintenant ainsi la plaquette dans le trait de coupe.
En cours de fraisage, il arrive parfois que des copeaux collent ou
se soudent à l’arête de coupe, qu’ils accompagnent alors jusqu’à
l’amorce de la passe suivante. En fraisage conventionnel, ces
copeaux risquent d’être coincés entre la dent et la pièce avec, pour
conséquence, une rupture de la dent. En fraisage en avalant, les
mêmes copeaux sont, par contre, cisaillés en deux et n’endommagent
pas l’arête de coupe.
En conséquence, le fraisage en avalant est à préférer chaque
fois que la machine, le système de fixation de l’outil et la pièce
le permettent.''
Mais je t'avoue que je n'ai pas l’expérience suffisante avec ma machine pour te le prouver par l'image
J'en avais marre de te lire, mais ces derniers temps .... je suis fan