V
Bonjour,
J'utilise la formule précédement citée : P(Kw) = (ar*a*fz*Kc*Z*Vc)/(pi*D*3*10^3)
J'ai des résultats à peu près similaires que ceux que je trouve avec le logiciel Coupe.
Pour l'effort de coupe : Fc=Kc*a*fz
Regarde la forme du copeau sur coupe. Ce n'est parce qu'une fraise a 4 dents que les quatre dents prennent du copeaux.Ton effort de coupe , c' est sur une dent .
Ton effort de coupe , c' est sur une dent .
Ce qui est étrange, c' est que j' ai trouvé à peu près la même formule , mais elle donne ceci : ( largeur fraisé*profondeur*fz*Z*Kc*Vc*rdt machine)/(PI*D*60*100)
Bonjour,
En fait , en page 2 tu as mis ( PI*D*6*10^3) et plus haut, tu as marqué ( PI*D*3*10^3)
C' est pour cela que je pigeai plus rien .
Bien d'accord.L’axe Z avec une table croisée peut offrir une plus grande rigidité et aussi il est plus facile d’avoir une broche « lourde ».
Un peu moins d'accord : avec une table croisée, la solution classique permet d'avoir toujours la fraise entre les 4 patins de la table croisée. On a donc facilement un grande rigidité entre la fraise et la pièce. Bien sur, si la table est très longue (grande course en X), l'extrémité de la table peut vibrer et induire un petit mouvement de la pièce au niveau de la fraise. Il faut donc néanmoins un minimum de rigidité de la table. Mais c'est "au deuxième ordre" par rapport à un défaut de rigidité d'un portique, par exemple, qui se répercute directement sur la position de la fraise par rapport à la pièce.Mais ce gain peut se traduire par un manque de rigidité de ladite table croisée. Pour lui assurer la stabilité nécessaire une masse importante est un bon moyen.
Bonjour.
Bien d'accord.
Un peu moins d'accord : avec une table croisée, la solution classique permet d'avoir toujours la fraise entre les 4 patins de la table croisée. On a donc facilement un grande rigidité entre la fraise et la pièce. Bien sur, si la table est très longue (grande course en X), l'extrémité de la table peut vibrer et induire un petit mouvement de la pièce au niveau de la fraise. Il faut donc néanmoins un minimum de rigidité de la table. Mais c'est "au deuxième ordre" par rapport à un défaut de rigidité d'un portique, par exemple, qui se répercute directement sur la position de la fraise par rapport à la pièce.
Le principale défaut que je vois d'une solution avec table croisée, c'est que la masse des pièces en mouvement peut être importante, limitant les vitesses de déplacement. ou des moteurs d'axe puissant.
L'autre "défaut", c'est que l'encombrement générale de la machine est important, mais cela n'est pas forcement gênant en fonction de la place qu'on a dans l'atelier.
Enfin ceci dit, il n'y a pas "une" bonne solution, tout cela est affaire de compromis. et puis d'avis personnel ...
Jean-Michel
Je trouve que c'est la meilleure solution du point de vue rigidité. Mais elle est nécessite deux vis à billes et est donc plus chère. Donc à toi de voir.pourquoi pas carrément inverser les axes Z et X en mettant le X sur le Z ?
oui et non. Lorsque la broche est au plus bas, effectivement on retrouve le même porte-à-faux. Mais souvent on est sur un étaux et la broche n'est jamais au plus bas. Et l'autre remarque, c'est que la plaque est bien plus facile à rigidifier par deux nervures, car on a toutes la place pour disposer ces nervures (on n'est pas entre deux mouvements). Mais comme indiqué, les deux solutions existes et sont aussi souvent utilisées l'une que l'autre.Sur l'axe Z je vois ce que tu veux dire mais au final cela revient un peu au même non ?
Une tôle de 20mm en 2 x 1 m => environ 320kg, pour le prix entre 300 ou 350€D'ailleurs, j'aurai aimé avoir un ordre de pris pour les matières premières mais je ne trouve pas de vendeurs qui font des plaques comme ça en acier de 15 ou 20mm d'épaisseur, est-ce que vous en connaissez ? Le prix au m² est pas trop élevé ?
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