C
cantause
Compagnon
Bonjour,
Ca va je nettoierai gentiment les cartes, et je ferai un essai à l'alcool isopropylique!
Pour la puissance installée, en effet il ne faut pas nécessairement grand chose, mais je n'ai jamais fait de mesure. Ca n'a disjoncté qu'une fois, avec la four et le sèche-linge en route, ça c'était tendu, maintenant je fais un peu plus attention.
Je vais certainement passer par la case renforcement dans pas très longtemps, probablement 15 kva dans un premier temps, éventuellement 24 kva (c'est le maximum "facile" à avoir chez moi) quand j'aurai ma table plasma. Les 15 kva ça ne coûterait pas très cher, c'est juste qu'il faut faire re-réceptionner l'installation de la maison et il y a certains points que je dois encore mettre en ordre, ce qui m'ennuie le plus c'est qu'avec la montée des températures extérieures, et le peu de volume, je pense bientôt devoir climatiser un minimum.
Mais si on se contente d'une seule machine à la fois, sans la pousser dans ses derniers retranchements (à pleine puissance les kW doivent bien venir de quelque part), je pense qu'avec 5-6 kW on sait s'en sortir, c'est surtout le fait d'avoir un raccordement triphasé qui a de l'importance, la conversion en mono demande des modifications parfois fort lourdes sur les cnc.
Les conversions c'est un autre boulot, je crois qu'on peut arriver au même résultat si la machine s'y prête bien (au final les Deckel, Maho, Hermle,... des années 80 sont presque des fraiseuses conventionnelles, en terme d'architecture), mais il c'est un projet de longue haleine, bon courage!
Question maintenance, c'est vrai qu'on ne dépend pas d'une électronique coûteuse et vétuste, je comprends bien l'idée, mais dans ce cas il y aussi le marché des cnc "canibalisées", sans leur contrôleur, un partie de l'électronique manquante,... qui sont parfois en excellent état mécanique et pour 3 francs 6 sous. Le gros avantage de ces bases, c'est qu'elles sont déjà prévue pour le fonctionnement automatique, donc la lubrification est centralisée ET automatisée, à mois de tomber sur une tête brulée qui a bidouillé un capteur, ou une machine dégoutante avec les canalisations bouchées, on peut être sûr qu'elle a toujours fonctionné bien huilée. Comme les vitesses de déplacement sont relativement faibles et que les glissières sont bien protégées, on tombe souvent sur des machines en bon état géométrique.
Encore merci pour les conseils!
Voici le drive suivant (pas encore dit qu'il est fautif, je n'ai jamais mis la machine sous tension):
L'armoire est un peu plus propre:
C'est un drive numérique (Siemens 6r27), on est au début des années 90, la documentation est plus abondante, le drive est lui aussi plus compliqué (tout du moins son fonctionnement m'est moins accessible).
On verra bien quand le moteur de broche sera remonté, je n'ai toujours pas osé le confier à un atelier pour rectifier le collecteur (en fait un roulement me résiste, je comptais leur donner le rotor prêt pour le tournage).
Bonne fin de journée.
François
Ca va je nettoierai gentiment les cartes, et je ferai un essai à l'alcool isopropylique!
Pour la puissance installée, en effet il ne faut pas nécessairement grand chose, mais je n'ai jamais fait de mesure. Ca n'a disjoncté qu'une fois, avec la four et le sèche-linge en route, ça c'était tendu, maintenant je fais un peu plus attention.
Je vais certainement passer par la case renforcement dans pas très longtemps, probablement 15 kva dans un premier temps, éventuellement 24 kva (c'est le maximum "facile" à avoir chez moi) quand j'aurai ma table plasma. Les 15 kva ça ne coûterait pas très cher, c'est juste qu'il faut faire re-réceptionner l'installation de la maison et il y a certains points que je dois encore mettre en ordre, ce qui m'ennuie le plus c'est qu'avec la montée des températures extérieures, et le peu de volume, je pense bientôt devoir climatiser un minimum.
Mais si on se contente d'une seule machine à la fois, sans la pousser dans ses derniers retranchements (à pleine puissance les kW doivent bien venir de quelque part), je pense qu'avec 5-6 kW on sait s'en sortir, c'est surtout le fait d'avoir un raccordement triphasé qui a de l'importance, la conversion en mono demande des modifications parfois fort lourdes sur les cnc.
Les conversions c'est un autre boulot, je crois qu'on peut arriver au même résultat si la machine s'y prête bien (au final les Deckel, Maho, Hermle,... des années 80 sont presque des fraiseuses conventionnelles, en terme d'architecture), mais il c'est un projet de longue haleine, bon courage!
Question maintenance, c'est vrai qu'on ne dépend pas d'une électronique coûteuse et vétuste, je comprends bien l'idée, mais dans ce cas il y aussi le marché des cnc "canibalisées", sans leur contrôleur, un partie de l'électronique manquante,... qui sont parfois en excellent état mécanique et pour 3 francs 6 sous. Le gros avantage de ces bases, c'est qu'elles sont déjà prévue pour le fonctionnement automatique, donc la lubrification est centralisée ET automatisée, à mois de tomber sur une tête brulée qui a bidouillé un capteur, ou une machine dégoutante avec les canalisations bouchées, on peut être sûr qu'elle a toujours fonctionné bien huilée. Comme les vitesses de déplacement sont relativement faibles et que les glissières sont bien protégées, on tombe souvent sur des machines en bon état géométrique.
Nikass a dit:Ce fut un plaisir. A quand la prochaine
Encore merci pour les conseils!
Voici le drive suivant (pas encore dit qu'il est fautif, je n'ai jamais mis la machine sous tension):
L'armoire est un peu plus propre:
C'est un drive numérique (Siemens 6r27), on est au début des années 90, la documentation est plus abondante, le drive est lui aussi plus compliqué (tout du moins son fonctionnement m'est moins accessible).
On verra bien quand le moteur de broche sera remonté, je n'ai toujours pas osé le confier à un atelier pour rectifier le collecteur (en fait un roulement me résiste, je comptais leur donner le rotor prêt pour le tournage).
Bonne fin de journée.
François