Cutter
Apprenti
Si je devais faire de la série aujourd'hui, personnellement je me dirigerais vers de la CNC. Le choix de la butée, c'est un confort de travail c'est tout.
Merci Begineur, j'avais vu un certain nombre de ces vidéos et exemples.
Dombes69
Compagnon
Bonjour
Sur le Myford il n'y a pas de repères pour matérialiser la position des côtes sur la pièce en fabrication dans le sens longitudinal , la butée à six position joue ce rôle , peut importe qu'on soit en système métrique ou en système de mesures anglaises .
Pour ce qui est du choix de l'emplacement de la butée , on remarquera que du côté vis mère c'est pas mal encombré ,qu'il est impossible de transformer la crémaillère qui est en DP en mesure métrique et que les taraudages sont disponibles .
A+
Dombes69
Compagnon
l'erreur se paie au prix fort , mais le souci du travail bien fait compense le manque de rigueur et tout se passe bien comme dans le pays qui se nome théorie .
A+
coquillette
Compagnon
Dombes69
Compagnon
Oui mais la partie qui se fixe sur les taraudages se déplace très facilement , avec les vis qui sont longues + un réglet le réglage est facile .donc cela limite la course totale du trainard
Et puis on fait avec ..........
A+
Cutter
Apprenti
Certains fabricants proposent des verniers à engrenages à installer au niveau du volant du trainard qui permettent une mesure longitudinale et assurent la conversion métrique vers impérial (je n'en connais pas le rapport exact, je n'ai pas testé).
Perso, j'ai préféré sacrifier un vieux pied à coulisse numérique de 300 mm pour l'utiliser en guise de DRO. Mais en fonction des travaux, c'est parfois plus confo. d'avoir une bonne butée ... C'est vrai, il faut faire des reglages, ça limite un peu la course, il ne faut pas oublier de debrailler... Question de méthode et de compromis.
Coyote94
Compagnon
Whaoo tu l'as pris du stock https://www.myford.co.uk/ ?
tu l'as pris du stock https://www.myford.co.uk/ ?philippe2
Compagnon
La machine était en vente sur ce site.
Dombes69
Compagnon
Bonsoir
Belle machine , mais il y a un risque :
le moteur est haut perché , son poids tire le centre de gravité en arrière de la machine provocant le basculement de celle ci sans prévenir dans le déplacement .
Dans ce cas tout ce qu'on peut faire c'est de se tirer si on peut car 150kg ça pèse .......
A+
Belle machine , mais il y a un risque :
le moteur est haut perché , son poids tire le centre de gravité en arrière de la machine provocant le basculement de celle ci sans prévenir dans le déplacement .
Dans ce cas tout ce qu'on peut faire c'est de se tirer si on peut car 150kg ça pèse .......
A+
philippe2
Compagnon
Oui. Mais l'objectif reste quand même de faire des copeaux.
philippe2
Compagnon
Pour le banc, je n'ai pas fait de contrôle de géométrie.
- Il est propre, sans attaque ni coups, y compris les parties usinées non coulissantes. La machine n'a pas subi d'aléas climatiques, les graduations sur le fourreau de la poupée mobile sont encore visibles. Idem pour le bout des glissières du petit chariot qui n'a jamais fait de bisous aux mors du mandrin.
- Le parcours du traînard est fluide, très très légère résistance quand il commence à déborder au bout du banc rompu (là où on ne va jamais, je n'ai pas encore monté le mandrin). Idem poupée mobile, fluide.
- Le palier de broche conique en bronze a une légère tendance à avoir la goutte au nez à l'arrêt, après quelques minutes de fonctionnement à vide. Bon signe, ça lubrifie (l'huile arrive par une mèche qui fait son job), et ça se voit (mais ça ne pisse pas comme les vieux twins anglais).
- La lyre a été remontée en position "avance mini" ou pas loin, avec les deux pivots intermédiaires). C'est de la mécanique ajustée, qui ne tolère aucune saleté, bavure, etc. J'ai donc passé mon après-midi à peaufiner, ébavurer, brosser, nettoyer. Bien sûr, la minuscule Woodruf de la vis mère est tombée au moins 3 fois, heureusement que le ménage du garage avait été fait avant l'arrivée de la machine. Mais l'ordre de montage a été assimilé. Il n'y a que peu de bruit de pignonnerie.
- L'avance auto embraye comme une fleur, l'inverseur d'avance à pignons acier est fluide. C'est ce qui m'a marqué ce soir, cette douceur de commande. Un peu comme la sélection de vitesse des motos japonaises pour ceux qui étaient habitués aux européennes (vieux souvenir).
Donc aucune mauvaise surprise et encore moins de regret, cette machine n'a pas été massacrée ni mal stockée.
Content.
++++
- Il est propre, sans attaque ni coups, y compris les parties usinées non coulissantes. La machine n'a pas subi d'aléas climatiques, les graduations sur le fourreau de la poupée mobile sont encore visibles. Idem pour le bout des glissières du petit chariot qui n'a jamais fait de bisous aux mors du mandrin.
- Le parcours du traînard est fluide, très très légère résistance quand il commence à déborder au bout du banc rompu (là où on ne va jamais, je n'ai pas encore monté le mandrin). Idem poupée mobile, fluide.
- Le palier de broche conique en bronze a une légère tendance à avoir la goutte au nez à l'arrêt, après quelques minutes de fonctionnement à vide. Bon signe, ça lubrifie (l'huile arrive par une mèche qui fait son job), et ça se voit (mais ça ne pisse pas comme les vieux twins anglais).
- La lyre a été remontée en position "avance mini" ou pas loin, avec les deux pivots intermédiaires). C'est de la mécanique ajustée, qui ne tolère aucune saleté, bavure, etc. J'ai donc passé mon après-midi à peaufiner, ébavurer, brosser, nettoyer. Bien sûr, la minuscule Woodruf de la vis mère est tombée au moins 3 fois, heureusement que le ménage du garage avait été fait avant l'arrivée de la machine. Mais l'ordre de montage a été assimilé. Il n'y a que peu de bruit de pignonnerie.
- L'avance auto embraye comme une fleur, l'inverseur d'avance à pignons acier est fluide. C'est ce qui m'a marqué ce soir, cette douceur de commande. Un peu comme la sélection de vitesse des motos japonaises pour ceux qui étaient habitués aux européennes (vieux souvenir).
Donc aucune mauvaise surprise et encore moins de regret, cette machine n'a pas été massacrée ni mal stockée.
Content.
++++
SuperSpinach
Compagnon
Jolie tour ! Par contre il va falloir changer de moteur car les Myford ne sont pas prévu pour tourner avec des moteurs de 3000trs/min. Actuellement si tu passes la vitesse la plus rapide, le mandrin va tourner à plus de 4000 tours/min
A moins que la poulie moteur ait été modifié mais je ne vois pas comment le diamètre aurait pu être réduit.
A moins que la poulie moteur ait été modifié mais je ne vois pas comment le diamètre aurait pu être réduit.
Doctor_itchy
Compagnon
superbe machine , le miens a aussi un moteur 3000rpm , je l'utilise sur un variateur électronique et réglé a 25hz en mode couple , je n'ai pas de perte de puissance ou alors très peu et cela me permet parfois de tourné plus vite sur de court usinage (pas trop long pour ne pas abimé les palier ! ) un 750watt est plus que suffisant
, le miens a aussi un moteur 3000rpm , je l'utilise sur un variateur électronique et réglé a 25hz en mode couple , je n'ai pas de perte de puissance ou alors très peu et cela me permet parfois de tourné plus vite sur de court usinage (pas trop long pour ne pas abimé les palier ! ) un 750watt est plus que suffisant philippe2
Compagnon
Le constat au déchargement du transpalette est qu'il faut environ 10° de prise d'angle, pour que ça commence à basculer. Ce qui est haut perché ce sont les carters de courroies et arbre intermédiaire qui sont relativement légers, contrairement à ce que l'encombrement laisse penser.
Ce qu'il ne faut pas faire c'est pousser comme un bourrin avec les roulettes arrière verrouillées.
Une vue en bout :
Dombes69
Compagnon
Bonsoir
Le poids des carters + l'embrayage + le moteur finissent par faire un poids non négligeable dont le rayon de couple se trouve en dehors de l'axe de la machine , voilà comment le tour bascule sans prévenir surtout :
Sur la photo les roulettes sont orientées dans l'axe du tour aucun problème pour déplacer le tour dans ce sens , mais si on veut changer le sens du déplacement on appuis sur le haut du meuble ce qui réoriente les roulettes qui au début du mouvement ont tendance à se bloquer .
C'est ce blocage qui est la cause du basculement .
il vaudrait mieux mettre le meuble / support sur du tube rectangulaire dépassant t de 32cm à droite et 12cm à gauche + les roulettes .
Ainsi aucun risque de voir votre machine fort abimée .
A+
Le poids des carters + l'embrayage + le moteur finissent par faire un poids non négligeable dont le rayon de couple se trouve en dehors de l'axe de la machine , voilà comment le tour bascule sans prévenir surtout :
Sur la photo les roulettes sont orientées dans l'axe du tour aucun problème pour déplacer le tour dans ce sens , mais si on veut changer le sens du déplacement on appuis sur le haut du meuble ce qui réoriente les roulettes qui au début du mouvement ont tendance à se bloquer .
C'est ce blocage qui est la cause du basculement .
il vaudrait mieux mettre le meuble / support sur du tube rectangulaire dépassant t de 32cm à droite et 12cm à gauche + les roulettes .
Ainsi aucun risque de voir votre machine fort abimée .
A+
philippe2
Compagnon
Petit partage ici de ce que j'ai déjà publié sur un autre fil, histoire de capitaliser.
-Le moteur monté sur le tour n'était pas adapté, 1,5kW et 2800tr/mn.
-L'inverseur sur la façade de la base avait un contacteur assez malade.
Un moteur "plus dans les clous" par rapport à la motorisation préconisée par Myford himself a été monté.
750W et 1400tr/mn environ. Un Ribitech à deux sens de rotation, un seul condensateur sur l'auxiliaire. Sorties 4 fils dans la boîte à bornes, sens de rotation suivant la disposition des barrettes (donc inversion possible sans VDF). Bien sûr les barrettes sont démontées, puisque la fonction est assurée par le contacteur rotatif..
Il fallait donc coupler ça à un contacteur rotatif. Le câblage sur le contacteur universel que j'ai trouvé est un peu compliqué par l'architecture simpliste de ce contacteur, non dédié à la fonction. Mais ça fonctionne.
L'aspect d'origine a été conservé, une pièce intermédiaire de fixation, une grosse boîte planquée dans le meuble, ni vu ni connu.
Câblé ça donne ça.
A droite sortie pour interrupteur d'éclairage à levier "vintage", et lampe (en cours de fabrication pour la lampe).
Schéma de câblage validé (terre et éclairage non représentés). Un interrupteur à relais et prise 220V mono est monté conformément au schéma :
Vues générales :
Du coup, pas beaucoup de copeaux pour le moment, encore quelques bricoles à faire avant d'y aller "sérieusement".
++++
-Le moteur monté sur le tour n'était pas adapté, 1,5kW et 2800tr/mn.
-L'inverseur sur la façade de la base avait un contacteur assez malade.
Un moteur "plus dans les clous" par rapport à la motorisation préconisée par Myford himself a été monté.
750W et 1400tr/mn environ. Un Ribitech à deux sens de rotation, un seul condensateur sur l'auxiliaire. Sorties 4 fils dans la boîte à bornes, sens de rotation suivant la disposition des barrettes (donc inversion possible sans VDF). Bien sûr les barrettes sont démontées, puisque la fonction est assurée par le contacteur rotatif..
Il fallait donc coupler ça à un contacteur rotatif. Le câblage sur le contacteur universel que j'ai trouvé est un peu compliqué par l'architecture simpliste de ce contacteur, non dédié à la fonction. Mais ça fonctionne.
A droite sortie pour interrupteur d'éclairage à levier "vintage", et lampe (en cours de fabrication pour la lampe).
Schéma de câblage validé (terre et éclairage non représentés). Un interrupteur à relais et prise 220V mono est monté conformément au schéma :
Vues générales :
Du coup, pas beaucoup de copeaux pour le moment, encore quelques bricoles à faire avant d'y aller "sérieusement".
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