Bonsoir,
Malheureusement il y a projections pendant un très court instant quelque soit l'option retenue
-démarrage de la meule puis de la pompe ou l'inverse
Après comme souligné par Albatros ça part vers le bas en entrainant une grosse partie de l'émeri
L'évier et le décanteur jouent leur rôle respectif
Sur le tour ou la fraiseuse ça tourne moins vite et la projection est moindre
A sec on a vite fait de brûler une arête;après il faut tout reprendre et réenlever plusieurs dixièmes
1/4L d'huile soluble complétée pat un arrosoir de flotte et tu peux bosser plusieurs jours'(aspect lait)
Il en tombe toujours un peu sur le sol en béton genre crachin breton;à l'évaporation ça laisse des traces
blanchâtres;du coup je met souvent un carton qui une fois trop souillé va dans la cuisinière de l'atelier
Lorsque la machine est au repos pour quelques semaines je fais débiter la pompe dans un bidon de 25l
pour éviter son évaporation
Lors du réemploi je le fais passer par un tamis très fin pour récupérer les matières solides
Avec ces huiles solubles l'oxydation des tables est insignifiante
En cherchant la photo de ma rectif j'ai retrouvé celle de 2° Cincinnati(commandes avant et arrières) achtée cet été pour les moyeux,la broche et le moteur
Ma rectif plane "monoprécis 1D"n'est pas équipée d'origine en machine humide;dommage car avec ou pire sans aspirateur y en a partout
Sur mes Astra j'ai des carters bien enveloppants avec arrivée des 2 flexibles de réfrigérants;c'est le top question éclaboussures
mais coté refroidissement
c'est l'arête usinée qui faut refroidir à tout prix
Sur tour ou fraiseuse priorité à l'outil
Cordialement