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Bonjour---> Le comportement en traction d'une courroie HTD-8M serait donc en quelque sorte comparable à celui d'une bande d'acier de même largeur et de 0.16 d'épaisseur. Quel est votre avis ?
Si c'est le cas, on aurait alors par exemple avec un brin ayant une longueur de 2500 mm et une traction de 1000 N, un allongement de courroie d'environ 2,5mm.
Je ne connaissais pas ce montage. Si je comprend bien, la courroie "active" se décollerait d'une courroie d'accueil au fur et à mesure de l'avancement du portique. J'ai un doute sur ce montage parce que le profil d’engrènement qui va bien avec une courroie HTD est celui qu'on retrouve sur une poulie HTD. Ce profil est différent. Pour ce montage, Il faudrait trouver une courroie avec un profil de dents identiques à celles des poulies. Je ne crois pas que ce produit existe tout fait.Il y a une autre solution pour utiliser un système à courroie ... au lieu de faire reposer la courroie directement sur le bois, dispose entre la courroie et le bois une autre courroie avec les dents vers le haut. Cette autre courroie est collée sur le bois et n'a donc pas de problème d’allongement. Les dents de la première courroie viennent s'intercaller entre les dents de cette seconde courroie. La première courroie vient donc prendre appuis (s’engrener en quelque sorte) sur cette seconde. On a ainsi supprimer le problème d'allongement de la courroie.
Est-ce que tu as étudié cette solution et qu'en penses-tu ?
Pour moi, j'ai l'impression qu'on retrouve en partie les avantages et difficultés d'une crémaillère. En particulier, le besoin de parfaitement aligner le support de courroie avec le mouvement en X. Tous bien considérer, je trouve même la solution à crémaillère plus sûr que la solution à 2 courroies.
Il est différent par ce qu'enroulé sur la périphérie de la poulie, mais à plat, tu as 2 profils de crémaillère à flancs plats.J'ai un doute sur ce montage parce que le profil d’engrènement qui va bien avec une courroie HTD est celui qu'on retrouve sur une poulie HTD. Ce profil est différent.
Certe c'est un problème. Mais ne suffit-il pas de tendre les 2 brins ensemble, avant collage, puis de venir coller le support ? Il y a aussi le problème de la rectitude et du parallélisme du support avec le déplacement en X. Cela ne doit pas être loin de la précision nécessaire pour une crémaillère. Sans oublier aussi le point évoqué par @carlos78 de choisir un modèle de courroie avec des dents qui s'emboitent correctement.ce qui me gène aussi dans ce système est: Quelle est le prétensionnement à appliquer au brin qui
sera collé pour correspondre à celui du brin libre également tendu ?
C'est ce modèle ?une solution très séduisante est la crémaillère hélicoïdale et son pignon dédié proposé par aliexpress.
. C'est bien pour cela qu'il y a des adeptes inconditionnel de la crémaillère,
A prendre en compte aussi des problèmes de frottement et de résistance au roulement de tout contact métalL'idée d'une double courroie est très séduisante,
Plus économique, certe. Mais plus facile à mettre en œuvre ? Je ne vois pas vraiment pourquoi. Dans les deux cas, il faut une réduction entre le moteur et le pignon ou la poulie. Avec la courroie, les tensions mises en œuvre nécessite de parfaitement rigidifier l'axe de la poulie et des galets, avec un système de tension de courroie. Et puis aligner le tout. Avec la crémaillère, il faut certes qu'elle soit parallèle au guidage, mais en disposant la crémaillère callée contre le rail sur un même plat d'étiré, il y a une solution simple à ce problème.elle est économique et plus facile à mettre en œuvre pour un amateur,
C'est une solution effectivement, mais habituellement sans reprise d'usinage, tu en baves deja avec des cales ou autres àen disposant la crémaillère callée contre le rail sur un même plat d'étiré,
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