Christian-tr:
Entre codeur et règles, c'est surtout un choix de mode de fonctionnement.
Le codeur est (obligatoire) pour piloter des moteurs brushless. Entre parenthèse car je ne suis pas sûr de moi.
Du coup, si on peut l'utiliser aussi pour le positionnement, les règles deviennent inutiles. Toutes les petites CN fonctionnent sur ce mode-là.
Les grosses CN, que je connais sont de conception ancienne, sans brushless. Les 3 axes ont des règles, mais souvent les autres axes de simples codeurs.
Ordinerf:
Je pensais bien qu'une telle bécanne ferait quelques tonnes...J'ai depuis longtemps abandonné l'idée de la porter sur mon dos!
Au pif, je dirais 10 tonnes en granit et 7.5 tonnes en géodésique acier.
Taramop:
Merci pour la doc que je potasserai.
La peinture sur un béton-époxy sera de l'époxy, la glycero c'est délicat à bien réussir. Mon expérience modéliste avec des moteurs qui crachent du méthanol et de l'huile chauds me servira ici!
JKL:
La réticulation de l'époxy, je connais de part le modèle réduit. A plus de 200 km/h, vaut mieux pas que ça bouge dans le temps.
Avantage sur MOCN, la bécanne ne voit pratiquement jamais le soleil, donc pas de problème d'UV et de dégradation superficielle. Du coup on peut rajouter des peroxydes en plus d'utiliser la chaleur pour forcer la réticulation jusqu'au bout.
Le dernier morceau de zérodur que j'ai usiné faisait 500 x 500 x 120 mm et le miroir pour le spatial a perdu 80% de son poids en 3 mois. Si j'ai serré les fesses, c'est que je connaissais le prix de la matière + la main d'oeuvre (mirroir déjà poli) en amont...
Non, décidement, un bati en zérodur ne rentrera jamais dans mon budge
Taramop:
Pas bête l'idée du tube creux dans le moule pour baisser la masse...Je vois bien une tole roulée de 2 mm au milieu des moules de poutres béton!
On pourrait gagner beaucoup en masse finale de la machine.
Et aussi en prix si on met moins de matière... Mmmmmhhhh!
Ils ne font pas comme ça les poteaux EDF? Ceux avec des marches pour grimper dessus... Il me semble que j'ai déjà vu ça.
Mr VECTRA:
Mais bien sûr: SIDERMECA KX2 modèle avec servo-moteurs. Leur site:
http://www.sidermeca.com. Tu peux y aller, j'ai pas d'actions! Juste des modifs liées à l'arrosage, une boite à eau, un surpresseur, rien de bien terrible. Je m'en sers en ce moment pour reprendre des bagues de bijouterie en zircone.Elles sortent à ± 0.25 mm au moulage + frittage et je les sors à ± 0.025mm après reprise + polissage.
Toutes les offres m'intéressent. Merci d'avance.
Le montage sans réglage est à mon avis une erreur. J'ai toujours vu du feuillard ou du papier alu sur les bécanes que j'ai démontées et qui ne possédaient pas de réglage. Sur mes rectifs planes, je mets un coup sur le plateau magnétique tous les six mois, sur les cylindriques, quelques coups de maillet, tous ça c'est du réglage qui n'était pas prévu au départ...
La fonte a un intérêt , mais son poids est rédhibitoire, le moulage est compliqué et ne peux pas être fait soi-même pour de telles dimensions. Ce serait intéressant pour des machines en série, mais pour une seule, je doute. Maintenant si quelqu'un a les capacités de mouler une pièce creuse à des tarifs compétitfs par rapport à de la cornière acier soudée, je suis prêt à revoir ma position...
Le givre, je l'ai testé comme fixation, c'est bluffant en usinage à sec, mais inutilisable en usinage sous arrosage. Le fluide d'arrosage est trop chaud et en quantités trop importantes par rapport à la puissance frigorique. Pour refroidir les outils, je passe souvent en brouillard froid (air détendu). Par contre, pour la broche, jamais entendu parler...D'un autre coté, je vise une broche de 3.5 kW, alors le refroidissement, Hoffff!