Bonsoir
question stupide (peut être pas ! ) : au lieu de la mettre à la verticale (1ère foto du #28), pourquoi ne fixes tu pas la plaque directement sur la table ?
soit fixée avec
- des brides ordinaires,
- des crampons plaqueurs (ça c'est top et ça sert tous les jours !!!)
- ou encore (comme la table de ton EL n'est peut être pas assez longue) : en boulonnant dans les trous existants et la rainure courbe ...(ou encore en rajoutant des trous qui seront cachés après montage du moteur)
Avec des brides ordinaires ou des boulons, du démontes les brides ou les boulons qui gênent au fur et à mesure de l'avancement de l'usinage
Comme ça tu fait les 3 usinages (la face et les 2 cotées) sans démontage et surtout en sécurité (si la tôle pivote dans l'étau ça peut faire du dégât...)
====>>>> ne pas oublier la loi de Murphy : tout ce qui peut aller mal; un jour, ira mal ....
en tout cas tu as un sacré étau et il est vrai qu'il doit serrer fort !!!
Tu peux égalent fixer cette plaque sur les cotés de la table (le dé) de ton EL : les lumières des 2 cotés sont différentes (verticales à gauche et je parie horizontale à droite) : tu aurais pu facilement boulonner ta plaque sur le coté qui "allait le mieux" et faire les cotés de tapalque les uns après les autres.
Souvenir, souvenir : en 78 en emploi d'été, j'avais du faire à la raboteuse des surfaçages après soudures sur un "dé" d’environ 800 X 600 X 600 mm (en tôle de 10 et des plats de 80 X 30 env) fixé debout sur la table de la raboteuse
le patron (on était 5 ...) m'a demandé de SOUDER un fer en U de 60 en oblique à 30° sur le dé vers une plaque d'ép 12mm environ boulonnée sur la table... J'avais pu alors prendre des passe de 3 ou 4 mm avec avance de 0,3 ou 0,5 mm...
Ensuite un coup de lapidaire et un peu de meulage et on n'y voyait plus rien !
L'EL comme le rabot sont les rois des gros copeaux avec vitesse de coupe plutôt lente (pas de lub') : ils sont prévus pour ça, et c'est comme ça qu'ils sont (enfin, étaient) rentables.
C'est que j'essaye toujours de faire avec le mien
Eh bien ça avance : bon courage!
Yvon