Merci 
Qu’and j’ai eu cette idée farfelue, je n'imaginais absolument pas la complexité de vouloir copier un malheureux canif en deux exemplaires
il en faut, des petites pièces de quelques mm de diamètre avec des épaulements aux bonnes cotes
Photos du bidule en cours de montage:
Pour l’instant, toutes les pièces sont intervertibles entre les deux couteaux mais je ne sais pas si ça va durer…
Qu’and j’ai eu cette idée farfelue, je n'imaginais absolument pas la complexité de vouloir copier un malheureux canif en deux exemplaires
il en faut, des petites pièces de quelques mm de diamètre avec des épaulements aux bonnes cotes
Photos du bidule en cours de montage:
Pour l’instant, toutes les pièces sont intervertibles entre les deux couteaux mais je ne sais pas si ça va durer…
Si !
Ça me permet de diviser par deux le nombre de plaquettes à faire:
Je compte faire 3 jeux de plaquettes ==> chacun des possesseurs de ces deux couteaux aura donc trois choix possibles
Bon… je te vois déjà venir…: s’ils veulent tous les deux le même jeu de plaquettes (et les connaissant, c’est possible )… soit c’est une plaquette chacun d’un côté et une autre de l’autre, soit c’est le principe de la garde alternée qu’ils devront mettre en place ==> une semaine sur deux
Ça me permet de diviser par deux le nombre de plaquettes à faire:
Je compte faire 3 jeux de plaquettes ==> chacun des possesseurs de ces deux couteaux aura donc trois choix possibles
Bon… je te vois déjà venir…
: s’ils veulent tous les deux le même jeu de plaquettes (et les connaissant, c’est possible )… soit c’est une plaquette chacun d’un côté et une autre de l’autre, soit c’est le principe de la garde alternée qu’ils devront mettre en place ==> une semaine sur deuxJe comptais faire un essai avec des lettres à frapper avant traitement thermique: je pense que c’est jouable.
sébastien62
Compagnon
Après la precibop, le bopinel...Ah oui, oui oui, ça me plaît beaucoup
Remarque, ce serait encore mieux avec une gravure sur la lame
Belle réalisation.
Séb
La voilà avec la finition des mitres (microbillage) et les quatre jeux de plaquettes:
Toutes les pièces des deux couteaux sont interchangeables ainsi que les mitres, tout est presque parfait… sauf que je me suis lamentablement vautré sur une des deux plaquettes en composite:
Quelques dixièmes de jeu… et je n’ai plus assez de matière pour la refaire
Bref, les couteaux seront offerts comme ils sont, tant pis
Samedi, dernière bagarre avec la trempe des lames: tâche que @jyknives m’a gentiment proposé de faire avec lui et chez lui
Bonne soirée
Et très bien faites
MERCI Jean-Yves pour cette matinée découverte de la coutellerie où j’ai, en plus, rencontré une Belle Personne
Je pense que tant qu’on a pas essayé d’en faire un, on ne peut pas se douter des compétences qu’il faut pour mener le projet à bien (sans compter le temps à passer dessus).
Il ne me reste plus que quelques petites finitions et la pose des deux inserts d’ouverture des couteaux (je ne sais pas comment ça s’appelle…) et les deux couteaux seront prêts à être offerts
Je posterai quelques dernières photos quand j’aurai terminé de les peaufiner .
MERCI Jean-Yves pour cette matinée découverte de la coutellerie
où j’ai, en plus, rencontré une Belle PersonneJe pense que tant qu’on a pas essayé d’en faire un, on ne peut pas se douter des compétences qu’il faut pour mener le projet à bien (sans compter le temps à passer dessus
).Il ne me reste plus que quelques petites finitions et la pose des deux inserts d’ouverture des couteaux (je ne sais pas comment ça s’appelle…) et les deux couteaux seront prêts à être offerts
Je posterai quelques dernières photos quand j’aurai terminé de les peaufiner .
Oui, c’est vrai: désolé
Pourtant, je m’étais dit: « il faut prendre une photo de chaque phase » … et pis on regarde, on pose des questions, on ne veut rien rater des explications données et voilà, c’est fini et j’ai tout dans la tête et rien sur le tel
Mais bon… en gros: tu dégraisses et tu mets une peinture de protection sur ton bout de ferraille à traiter que tu laisses sécher et pendant ce temps-là, tu préchauffes le four, tu préchauffes l’huile trempe, tu mets ta ferraille dans le four et quand elle est à bonne température pendant suffisamment de temps (fonction de la matière et de l’épaisseur de la pièce à traiter), tu la refroidis dans l’huile. Tant qu’elle est encore un peu chaude, tu la brides légèrement entre deux pièces bien planes qui absorbent bien la chaleur (de l’alu, par exemple). Si tout s’est bien passé, la pièce est restée bien droite: si ce n’est pas le cas, c’est mort. Il est possible aussi que la pièce casse pendant cette opération (Jean-Yves m’a dit que le bruit que ça fait ne peut pas passer inaperçu): si c’est le cas, c’est mort aussi
Ensuite, bien nettoyer la pièce et la mettre dans un deuxième four préalablement chauffé à la température requise pendant un temps bien défini pour obtenir la dureté finale souhaitée (revenu). À la sortie de ce four tu peux déjà savoir si t’es dans les clous en fonction de la couleur qu’a prise ta pièce (un beau jaune doré dans mon cas). Tu peux trouver des exemples de palettes de couleurs correspondant à des niveaux de dureté sur le Net.
Voilà: tu vois c’est pas compliqué
Le plus important est de connaitre exactement les caractéristiques de ta matière à traiter car les températures de trempe/revenu peuvent varier (presque) du simple au double en fonction de celles-ci.
Dans mon cas, on a considéré que le vendeur chinois disait vrai et que j’ai bien acheté du VG10: un petit tour sur Internet et tu trouves les températures et les temps qui lui correspondent: trempe à 1075°C et revenu à 190°C
@jyknives : si j’ai écrit des trucs que tu trouves aberrants ==> corrige STP
Pourtant, je m’étais dit: « il faut prendre une photo de chaque phase » … et pis on regarde, on pose des questions, on ne veut rien rater des explications données et voilà, c’est fini et j’ai tout dans la tête et rien sur le tel
Mais bon… en gros: tu dégraisses et tu mets une peinture de protection sur ton bout de ferraille à traiter que tu laisses sécher et pendant ce temps-là, tu préchauffes le four, tu préchauffes l’huile trempe, tu mets ta ferraille dans le four et quand elle est à bonne température pendant suffisamment de temps (fonction de la matière et de l’épaisseur de la pièce à traiter), tu la refroidis dans l’huile. Tant qu’elle est encore un peu chaude, tu la brides légèrement entre deux pièces bien planes qui absorbent bien la chaleur (de l’alu, par exemple). Si tout s’est bien passé, la pièce est restée bien droite: si ce n’est pas le cas, c’est mort. Il est possible aussi que la pièce casse pendant cette opération (Jean-Yves m’a dit que le bruit que ça fait ne peut pas passer inaperçu): si c’est le cas, c’est mort aussi
Ensuite, bien nettoyer la pièce et la mettre dans un deuxième four préalablement chauffé à la température requise pendant un temps bien défini pour obtenir la dureté finale souhaitée (revenu). À la sortie de ce four tu peux déjà savoir si t’es dans les clous en fonction de la couleur qu’a prise ta pièce (un beau jaune doré dans mon cas). Tu peux trouver des exemples de palettes de couleurs correspondant à des niveaux de dureté sur le Net.
Voilà: tu vois c’est pas compliqué
Le plus important est de connaitre exactement les caractéristiques de ta matière à traiter car les températures de trempe/revenu peuvent varier (presque) du simple au double en fonction de celles-ci.
Dans mon cas, on a considéré que le vendeur chinois disait vrai et que j’ai bien acheté du VG10: un petit tour sur Internet et tu trouves les températures et les temps qui lui correspondent: trempe à 1075°C et revenu à 190°C
@jyknives : si j’ai écrit des trucs que tu trouves aberrants ==> corrige STP
Qu’es-ce ?
Ça a pour rôle uniquement d’empêcher la formation de calamine ou, à une influence dans le traitement lui même ?
Dans les grandes lignes c'est ça , par contre bien faire attention à la différence entre les matières, faut s'adapter aux T° et jamais se précipiter. et faire des tests. Et des fois même si on a tout les abaques ça ne fonctionne pas (ben là on se creuse la tête)
C'est quand vous êtes partis que je me suis dis on a même pas fait une photo.
, par contre bien faire attention à la différence entre les matières, faut s'adapter aux T° et jamais se précipiter. et faire des tests. Et des fois même si on a tout les abaques ça ne fonctionne pas (ben là on se creuse la tête) C'est quand vous êtes partis que je me suis dis on a même pas fait une photo.
C'est du cordusal, une couche de protection contre la décarburation de l'acier, donc une très grande influence sur le traitement, surtout sur les inox.
C'est pour ainsi dire la même chose que la papillote.
Trouvé !
Merci pour l’info
Peinture de protection - Condursal Z1100
Peinture de protection CONDURSAL Z1100 pour une protection efficace contre l'oxydation et la calamine pendant austénitisation et recuit en présence d'oxygène.
www.eurotechni.com
A savoir qu'il y a des couteliers qui n'en veulent pas et préfère leurs papillotes. Quand j'ai découvert ce produit c'était magique pour moi. Par contre ça pu quand ça sèche. Mais à mon niveau je n'y vois que des avantages.Trouvé !
Merci pour l’info
Peinture de protection - Condursal Z1100
Peinture de protection CONDURSAL Z1100 pour une protection efficace contre l'oxydation et la calamine pendant austénitisation et recuit en présence d'oxygène.
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