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Bonsoir à tous,
J'ai eu la chance de suivre, à la fin des années 80, mes études dans un grand lycée technique toulousain.
Cet établissement, ouvert dans les années 50, était encore doté à l'époque (pas si lointaine, pourtant…) d'un immense parc de machines-outils conventionnelles. Mes études m'ont ainsi rapidement donné le goût du copeau, qui depuis ne m'a bien sûr pas quitté
Au fil des ans, je me suis donc doté de quelques machines sympathiques, bien commodes pour réaliser chez soi ses créations métalliques les plus diverses : tour ERNAULT AC280, perceuse SYDERIC SC40 DAT, tour EMCO pour la mini-mécanique, combiné SYDERIC MU200AA, scie alternative ADAM...
Vous l'aurez compris, il manquait à tout cela une fraiseuse. Durant mes études, j'avais souvent utilisé des Z1C / ZHV1, que j'avais trouvées assez conviviales et sur les quelles j'avais apprécié la hauteur de table constante.
Eh bien voilà que tout récemment, j'ai eu la grande chance de sauver de la ferraille une magnifique ZHV1 (datant encore de l'époque SOMUA, c'est marqué dessus !), qui durant toute sa vie n'a connu que des écoles d'ingénieurs !
De fait, son usure est quasi-nulle (mis à part quelques coups de fraises épars sur la table, réalisés par des mains d'élèves encore inexpertes !), elle est presque complète (il ne lui manque que la lunette, bizarrement disparue…), elle comporte les rapides sur les 3 axes (pas systématique sur les modèles anciens), et voilà qu'en plus elle est équipée d'une visu ACURITE (pas indispensable, mais rudement commode quand même !).
Vestige d'une époque ancienne, elle était encore en 220 V triphasé ; une modification simple, et voilà qu'elle s'accommode sans broncher de notre 400 V moderne...
Voici donc une ZHV1 de plus qui ne connaitra pas les affres de la fonderie, et qui j'en suis sûr fera le bonheur de son propriétaire !
J'ai eu la chance de suivre, à la fin des années 80, mes études dans un grand lycée technique toulousain.
Cet établissement, ouvert dans les années 50, était encore doté à l'époque (pas si lointaine, pourtant…) d'un immense parc de machines-outils conventionnelles. Mes études m'ont ainsi rapidement donné le goût du copeau, qui depuis ne m'a bien sûr pas quitté
Au fil des ans, je me suis donc doté de quelques machines sympathiques, bien commodes pour réaliser chez soi ses créations métalliques les plus diverses : tour ERNAULT AC280, perceuse SYDERIC SC40 DAT, tour EMCO pour la mini-mécanique, combiné SYDERIC MU200AA, scie alternative ADAM...
Vous l'aurez compris, il manquait à tout cela une fraiseuse. Durant mes études, j'avais souvent utilisé des Z1C / ZHV1, que j'avais trouvées assez conviviales et sur les quelles j'avais apprécié la hauteur de table constante.
Eh bien voilà que tout récemment, j'ai eu la grande chance de sauver de la ferraille une magnifique ZHV1 (datant encore de l'époque SOMUA, c'est marqué dessus !), qui durant toute sa vie n'a connu que des écoles d'ingénieurs !
De fait, son usure est quasi-nulle (mis à part quelques coups de fraises épars sur la table, réalisés par des mains d'élèves encore inexpertes !), elle est presque complète (il ne lui manque que la lunette, bizarrement disparue…), elle comporte les rapides sur les 3 axes (pas systématique sur les modèles anciens), et voilà qu'en plus elle est équipée d'une visu ACURITE (pas indispensable, mais rudement commode quand même !).
Vestige d'une époque ancienne, elle était encore en 220 V triphasé ; une modification simple, et voilà qu'elle s'accommode sans broncher de notre 400 V moderne...
Voici donc une ZHV1 de plus qui ne connaitra pas les affres de la fonderie, et qui j'en suis sûr fera le bonheur de son propriétaire !