Ascenseur d'atelier

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion FARMAN
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    ascenseur
Bonsoir,
Concernant la progressivité, peut-être il faudrait mettre un volant d'inertie sur l'axe du moteur sous le disque de frein, arrêter le moteur un peu avant l'arrivée mais il continurait à tourner encore un peu avec l'inertie et utiliser le frein pour stopper la plateforme à la bonne position . Il faudra surement des essais pour régler tout ça.
 
Belle réalisation !
Moi j'ai eu du bol pour le mien un gerbeur hydraulique pour moins de 200 € chagement des fexibles 300€ alimenté par 2 batteries de voiture et chargeur d'entretient ca fonctionne meme sans secteur

il me reste à faire une belle cabine avec miroir de courtoisie et musique d'ambiance...
 
- Je ne suis pas certain que des parois constituent une amélioration car elles diminueront la visibilité ; la sécurité dépend essentiellement de la vigilance et ceci en toutes circonstances ...
- Un volant d'inertie va emmagasiner une énergie gyroscopique constante à chaque démarrage et restituera donc une énergie identique à chaque arrêt.
Or un arrêt en montée et un arrêt en descente nécessitent des quantités très différentes , différences encore majorées par la charge ...
- La solution la plus simple consiste à diminuer la vitesse par le rapport de réduction du motoréducteur et par le rayon du tambour d'enroulement.
 
Une solution pour démarrage progressif et arrêt progressif: jouer sur le diamètre de l'arbre d'enroulement du câble, comme tu n'a que 2 positions haute et basse ( en négligeant les arrêts hypothétiques entre ces 2 positions ) tu as donc un départ et un arrêt lent et une vitesse de croisière entre les deux sans électronique...
 
Une solution pour démarrage progressif et arrêt progressif: jouer sur le diamètre de l'arbre d'enroulement du câble, comme tu n'a que 2 positions haute et basse ( en négligeant les arrêts hypothétiques entre ces 2 positions ) tu as donc un départ et un arrêt lent et une vitesse de croisière entre les deux sans électronique...
- La solution la plus simple consiste à diminuer la vitesse par le rapport de réduction du motoréducteur et par le rayon du tambour d'enroulement.
 
Belle réalisation pour un premier "monte charge".
Au fil de la lecture j'ai vu qu'il était question de mettre un VDF, pour info tous les variateurs ne sont pas capable de faire du levage et encore moins sont capables de gérer les inversions de sens en fonctionement (arrêter la descente pour remonter aussitôt). J'ai vu une charge de test de 500kg tomber en chute libre (dévirer qu'ils disent) et traverser un parquet tout neuf à cause d'un mauvais choix de variateur.
L'alimention du frein prise sur le bornier moteur ne permet pas l'installation d'un varaiteur (tension faible en début de rampe donc pas de défreinage). Il faut dans le cas d'un variateur gére le freinage par une alimentation externe et asservie au fonctionement du variateur.

Le rapport du réducteur fait pour beaucoup dans la sécurité, un rapport au dessus de 64 sur roue et vis permet d'avoir un système qui ne peut pas être entrainé par la charge.

Le début d'enroulement des câbles acier sur le tambour doit comporter 3 tours morts avant de commencer l'enroulement normal.
 
Merci beaucoup pour ces informations utiles. Oui, bien sûr la commande du frein électromagnétique passerait par un relais ; mais j'ai de moins en moins envie de consacrer du temps à de l'inutile ou presque!

Pour répondre à Beber 70, je ne comprends pas la solution envisagée:

1ère solution de "diamètre progressif":
1707900167249.png


2ème solution :
Rendre le diamètre ( donc le rayon) variable. Faire varier le diamètre d'un cylindre ça ne va pas être simple ...
(On pourrait envisager un empilement de cônes opposés par leurs sommets pour chaque spire de chaque câble, avec des masselottes à billes, comme un variateur ?)
Là, j'hésite un peu avant d'entreprendre !!!
Mais de la discussion jaillit la lumière dit-on alors tous les espoirs sont permis.:wink:
 
oui un arbre progressif comme ton dessin mais sur la pente qui peut être plus prononcée je mettrai une succession de quelques rondelles façon vis d'archimède pour guider le câble...
 
Le tambour actuel est un tube d'acier de 10 mm d'épaisseur, 25 cm de diamètre et 150 cm de long. Deux axes de 30mm tournent à chaque extrémité sur des paliers omégas autoalignants .

Réaliser un tambour biconique de cette taille, ça va être passionnant ...

Pour le guidage du câble, il faudrait non pas des rondelles mais sur chaque cône un plat soudé/enroulé selon une spirale hélicoïdale, ce qui provoquera des frictions sur le câble à chaque entrée/sortie de spire.

Un tambour conique va provoquer une diminution de longueur enroulée à chaque tour avec pour conséquence un ralentissement à la montée mais réciproquement une accélération à la descente .

Pour le moment donc conservation de la configuration actuelle qui a fait ses preuves.
Dura lex sed lex ...
 
Pour le guidage du câble, il faudrait non pas des rondelles
Je parlais de rondelles fendues comme pour fabriquer une vis d'archimède...je n'ai pas tout détaillé tu a compris l'idée...

un ralentissement à la montée mais réciproquement une accélération à la descente .
Tu déroules moins de câble sur le petit diamètre a la descente donc tu diminue aussi ta vitesse
Pour le moment donc conservation de la configuration actuelle qui a fait ses preuves.
Dura lex sed lex ...
Ce n'était qu'une proposition histoire de réfléchir, et je comprends bien que tu ne vas pas tout modifier maintenant, tu en fais ce que tu veux...
Je ne vois pas ce que la loi vient faire ici? "Aléa jacta est " serait plus approprié :wink:
 
un ralentissement à la montée mais réciproquement une accélération à la descente .

Tu déroules moins de câble sur le petit diamètre a la descente donc tu diminue aussi ta vitesse

En position haute, tout le câble est enroulé et les dernières spires occupent le sommet tronqué du cône correspondant.
En descendant les spires du câble augmentent progressivement de diamètre puisqu'elles occupent un tronçon de cône de diamètre en augmentation également.
La longueur déroulée par tour augmente donc la vitesse également.
Simple loi géométrique ...
Mais nous nous écartons du sujet!
 
En position haute, tout le câble est enroulé et les dernières spires occupent le sommet tronqué du cône correspondant.
En descendant les spires du câble augmentent progressivement de diamètre puisqu'elles occupent un tronçon de cône de diamètre en augmentation également.
La longueur déroulée par tour augmente donc la vitesse également.
Simple loi géométrique ...
Mais nous nous écartons du sujet!
Qui a dit que l'ensemble représentait un cône? Il suffit que le diamètre diminue aux deux extrémités.
 
1707900167249-png.png

Un cône non, un bicône tronqué plutôt ... C'est à dire pour les adeptes de la sodomie des diptères deux cônes tronqués reliés par leurs bases par une partie cylindrique.
 
Voir la pièce jointe 871870
Un cône non, un bicône tronqué plutôt ... C'est à dire pour les adeptes de la sodomie des diptères deux cônes tronqués reliés par leurs bases par une partie cylindrique.
En fait il faudrait cette forme pour chaque câble. Un rétrécissement pour l'arrêt/démarrage en bas, un autre pour l'arrêt/démarrage en haut. Je n'avais pas pris en compte le fait qu'il n'y a qu'un cylindre pour entrainer tous les câbles.
 
Bonjour,

Belle réalisation ! Le montage est soigné et a l'air costaud ! :smt023

Amha il manquerait quelque chose sur la plate forme pour s'appuyer ou se tenir pendant le mouvement.
Du style un potelet ou un arceau pour poser la main ou les fesses.

En ce qui concerne le tambour d'enroulement conique, j'ai ce genre de chose sur des portes sectionnelles
portesect01.jpg



Pour l'application ascenseur avec variation de vitesse mécanique pour l'approche haute et basse il faudrait effectivement un tambour biconique, dans ce genre
portesect02.jpg

Mais avec 4 câbles !!!!
Cela vaut il vraiment le coup de s'embêter ?
 
bonjour
quelle puissance ton moteur ?
j ai un démarreur et ralentisseur progressif qui traine sur une étagère
mais ce qui impliquerai deux fins de course 15/20 cm au pif avant ceux d arrêt et quelques relais sup
 
Cela vaut il vraiment le coup de s'embêter
Bien sûr que non... A défaut de récupération, la réalisation est difficile, surtout pour faire solide et durable et ça ne résout pas la problématique départ/arrêt + montée/descente.
Une porte sectionnelle est compensée par ressorts contrairement à mon ascenseur qui est dépourvu de contrepoids.
Pour sécuriser, il n'y a que deux câbles; l'un part d'un angle de la plateforme , s'enroule autour du tambour, passe dans deux anneaux au centre du tambour,s'enroule à nouveau vers l'autre extrémité et se termine sur l'angle opposé de la plateforme. Un second câble part du troisième angle de la plateforme, passe autour d'une poulie coiffée d'un chapeau antidéraillement, s'enroule parallèlement au premier câble auquel il est lié dans la partie centrale , ressort à l'autre extrémité du tambour, passe autour d'une même poulie de renvoi et s'accroche dans le quatrième angle.
Ça supprime tout arrêt de câble source de vieillissement sur le tambour et ça minimise les déports angulaires en cours d'enroulement.
La solution la plus simple et vraiment efficace est électronique mais ne se justifie pas absolument.
 
Moi, je dis bravo, beau boulot et très utile quand on a un étage.

Je reproche :

Il n'y a pas de cage, il n'y a pas de cabine, il n'y a pas de porte à ouverture/fermeture automatique, il n'y a pas de miroir pour se recoiffer entre deux étages.

et pas de bar avec réfrigérateur :-D

Bon, plus sérieusement, c'est vrai que 6 secondes pour trois mètres, c'est rapide. @FARMAN , as tu eut la possibilité de réduire la vitesse pour évaluer si moins rapide te donnait plus de confort, sans pour autant devenir une limace ?
 
Bonjour

C'est une superbe réalisation.

Laissons @FARMAN l'utiliser et nous faire un retour dans quelques temps de fonctionnement.

Si ça lui convient, eh bien c'est top parce qu'il n'y a pas mieux que la satisfaction personnelle de ce qu'on a fait pour soit et à sa guise.

Encore bravo
 
@FARMAN
En écrivant mon post ci-dessus, je me suis posé la question "Combien de temps je mets pour monter ou descendre mon escalier qui m'élève de 2.8 m ?"

Alors j'ai pris le chrono de mon smartphone et mesuré le temps de descente...
J'ai les genoux qui sont fatigués à 68 ans et je n'étais chargé que de mon téléphone, résultat 12.73 !
A prendre en considération que si j'étais chargé (je parle de masse pas d'alcool quoique ça revient au même), j'aurais mis encore plus de temps.
Donc ton monte-charge est une Ferrari pour moi :mrgreen:
 
C'est pourtant du travail d'amateur, c'est à dire étymologiquement de quelqu'un qui aime ce qu'il fait.
Ce qui n'est pas toujours le cas des professionnels !!!
Tu as tout à fait raison ! Malheureusement le sens "usuel" de ce mot est devenu très péjoratif; j'aurais du mettre des guillemets...
 
Belle réalisation !
Moi j'ai eu du bol pour le mien un gerbeur hydraulique pour moins de 200 € chagement des fexibles 300€ alimenté par 2 batteries de voiture et chargeur d'entretient ca fonctionne meme sans secteur

il me reste à faire une belle cabine avec miroir de courtoisie et musique d'ambiance...
Bonjour à tous
Petit déterrage... :-D

Je me joins aux éloges : très belle réalisation ; bravo !

Comme d'autres, j'ai le même souci d'accès et surtout de sécurité pour accéder à la mezzanine de mon petit hangar (3.20m du sol de l'atelier).

Depuis des années, je grimpe à l'aide d'une échelle, ce qui outre le danger de chute, n'est surtout pas pratique pour monter ou descendre des objets à l'étage qui sert de stockage.

J'ai abandonné l'idée de l'escalier fixe, car le dégagement qu'il suppose (avec une pente "normale"), est trop important (même avec un quart tournant), et mange la place en bas ; place destinée aux véhicules.

J'ai un temps regardé les escaliers industriels relevables : c'est pas mal car il n'y a aucune emprise au sol, dès lors qu'il est relevé. Le problème est que ça coûte un bras + la Rolex...

Ensuite, j'ai imaginé trouver un mât de chariot élévateur, et l'installer à poste fixe : ça pourrait être une solution mais ça fait pas mal de boulot à prévoir.

Et puis, de fil en aiguille (ou plutôt d'escaliers en élévateurs), j'ai pensé au gerbeur (et je vois que je ne suis pas le seul). Donc je regarde ça depuis déjà quelques mois, mais malheureusement, je ne trouve rien en dessous des 3000 € (il faut un mât duplex pour atteindre les 3.20m). Je précise que j'aimerais que ce gerbeur soit en état car il me permettrait de me séparer de celui que j'ai (modèle manuel qui lève 500 kg à 2,50m) ; modèle qui me sert (rarement) à ranger ou à récupérer des "trucs" lourds, stockés sur un rack à palettes (ou à déposer le porte-échelle d'un camion de Pompier, comme sur les photos ci-dessous...(autant dire que ce n'est pas tous les jours, mais... c'est bien pratique quand on bricole seul :-D)

L'idée serait donc de fabriquer une attache anti basculement (surtout latéral), et ouvrable, et qui boulonnée à l'IPN du plancher de la mezzanine, permettrait aussi de pouvoir déplacer le gerbeur quand il ne servirait pas de monte-charge.

@ Greg_elec : je vois que tu as retenu aussi cette solution : aurais-tu des photos de ton installation, ainsi qu'un petit retour d'expérience sur cette solution ?
Merci par avance.


Pour le fun, la dépose avant travaux, et la repose du porte-échelle avec le gerbeur manuel KLEOS-500 :

20231025_190103.jpg


20231025_191904.jpg


20231101_145658.jpg


20240221_104840.jpg


20240221_111251.jpg


20240221_112434.jpg
 
Bonjour à tous,
J'aime bien les déterrages, ça rajeunit !
L'idée serait donc de fabriquer une attache anti basculement (surtout latéral), et ouvrable, et qui boulonnée à l'IPN du plancher de la mezzanine, permettrait aussi de pouvoir déplacer le gerbeur quand il ne servirait pas de monte-charge.
Préoccupation prioritaire: la stabilité.
Dans un premier temps, il semble difficile d'utiliser l' IPN , surtout en conservant la mobilité, qu'il faudrait détailler: droite/gauche, avant/arrière, pivotement selon un axe vertical ?
Dans un second temps, il faudrait préciser la course verticale des bras, sur la machine mais aussi du sol jusqu'au niveau de la mezzanine.
Il va falloir se méfier des portes-à-faux et des majorations de charge liées à l'inertie en cas de déplacements.
Quelle est la source d'énergie actuelle pour soulever une charge ? La contraction musculaire, ça réchauffe mais ça fatigue ...
Il y a peut-être à gratter en étudiant un système de chariot coulissant sur l'IPN ou sur un rail fixé sous cet IPN?
De ce chariot, des haubans ( tubes coulissants avec blocage par vis de pression) triangulés en partie haute du mât ?
Ça se complique ...
Et priorité aux calculs, prudence oblige !
De la discussion jaillit la lumière.
 

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