M
MacPepR
Ouvrier
Si cela peut servir à d'autres, voici comment j'ai procédé pour transporter une petite fraiseuse (700 à 1 000 kg je pense) dans une camionnette banale, puis pour la décharger ensuite.
L'entreprise à laquelle j'ai racheté l'engin avait démonté la table pour sortir la machine par la porte du local où elle se trouvait. Comme ils disposaient d'unFenwick chariot élévateur, il me l'ont déposée sur deux madriers à l'intérieur du Master. Je l'ai ensuite sanglée de partout et ai surtout évité les gros freinages sur les 30 km que j'avais à faire (en Ile de France quand-même, ce n'est pas les mêmes km qu'à la campagne). Ca donnait ça :
Pour la suite, toute l’opération repose sur des roulettes industrielles que j’ai trouvées par « leboncoin ». On me les a vendues comme capables de 400 kg chacune, d’ailleurs, elles n’ont pas bronché.
Les dites roulettes en place dans des trous présents dans la semelle de la machine.
On attaque le plus délicat, la descente. J’ai bidouillé deux rampes avec des IPN que j’avais depuis longtemps (comme quoi il ne faut jamais rien jeter).
Pour contrôler la descente, j’ai utilisé un palan à chaîne qui jusqu’à lors avait servi pour sortir des moteurs de voiture. Adepte des pratiques sado masochistes, la fraiseuse s'est laissé enchaîner facilement.
Vu du palan accroché d’un côté à la fraiseuse de l’autre au châssis de la camionnette.
En prenant plein de precautions, il a fallu environ une demi heure pour sortir complètement la machine.
Etape suivante, la mettre en place dans l’atelier, mais pour ça il a fallu qu’elle grimpe deux marches. J’ouvre un nouveau topic.
L'entreprise à laquelle j'ai racheté l'engin avait démonté la table pour sortir la machine par la porte du local où elle se trouvait. Comme ils disposaient d'un
Pour la suite, toute l’opération repose sur des roulettes industrielles que j’ai trouvées par « leboncoin ». On me les a vendues comme capables de 400 kg chacune, d’ailleurs, elles n’ont pas bronché.
Les dites roulettes en place dans des trous présents dans la semelle de la machine.
On attaque le plus délicat, la descente. J’ai bidouillé deux rampes avec des IPN que j’avais depuis longtemps (comme quoi il ne faut jamais rien jeter).
Pour contrôler la descente, j’ai utilisé un palan à chaîne qui jusqu’à lors avait servi pour sortir des moteurs de voiture. Adepte des pratiques sado masochistes, la fraiseuse s'est laissé enchaîner facilement.
Vu du palan accroché d’un côté à la fraiseuse de l’autre au châssis de la camionnette.
En prenant plein de precautions, il a fallu environ une demi heure pour sortir complètement la machine.
Etape suivante, la mettre en place dans l’atelier, mais pour ça il a fallu qu’elle grimpe deux marches. J’ouvre un nouveau topic.