Bonjour,
J'ai eu peur que les deux vis en biais dans les bouts ne suffisent pas lors de l'usinage du Ø 46.
Il n'était pas possible de faire une empreinte dans le bloc pour que ces vis constituent un arrêt franc (pas de foret suffisamment long !).
J'ai cherché le moyen d'avoir un blocage en translation du rond en laiton et un arrêt en rotation "fiable".
Les vis entre "cuir et chair" ne me plaisaient pas du fait de la trop grande différence de dureté des matériaux 'et perçage "manuel !).
J'ai pensé ensuite à encastrer une tête de vis, mais j'ai trouvé qu'il n'y avait pas assez de différence entre le diamètre du corps et de la tête des vis.
J'ai eu l'idée de dissocier l'appui de la fixation, et donc d'utiliser une rondelle.
N'ayant pas de rondelles "larges" (et le tour étant monopolisé par les alésages), j'ai utilisé une rondelle Ø 5 avec une vis de Ø 4.
Le perçage-taraudage est ainsi éloigné du rond en laiton mais j'ai une partie "conséquente" pour le bloquer en translation et en rotation.
Pour remédier au jeu de la broche de la perceuse, il a fallu improviser un canon de perçage (fraisage devrais-je dire :
Et le résultat :
en fouillant dans le stock de rondelles, je devrai en trouver 4 mieux ajustées !
Cordialement,
PUSSY.