P
Pierrot Lecopeau
Ouvrier
Bonjour à tous,
Je poste en restauration, mais un coup de main en dépannage sera le bienvenue aussi car je butte sur certain points...
En Mai dernier, je parcours un site d'annonce célèbre à la recherche d'une perceuse à colonne qui tienne la route pour équiper notre petit atelier de montage de prototypes.
Grâce au forum et après avoir eu entre les mains une petite Chomienne incomparable, je voulais me débarasser de notre horrible perceuse à colonne de GSB, qui, dans ses maigres limites nous rend quand même quelques précieux services.
Quelques appels, un camion de location et 2 heures de route plus tard, me voilà revenu avec la bête : fraiseuse Rouchaud limoges, n° de série FEV322.
Prix d'achat : 850€ avec quelques fraises.
Ses qualités :
- encombrement au sol très réduit,
- course en ZetX de 300mm,
- avance automatique sur l'axe x
- tête sensitive,
- construction type fraiseuse avec tous les axes en glissière prismatique.
- très silencieuse
Ses défauts :
- broche sur palier bronze en cm3, le palier du bas pisse un peu l'huile et je fini toujours par en avoir sur la blouse, un coup de main là-dessus sera bienvenu.
- course en y de 170mm,
- aucune inclinaison possible,
- changement de vitesse de broche et d'avance par changement de poulies pour la broche / pignon pour les avances, pas des plus pratique mais de toute façon, je n'ai qu'un jeu de chaque.
- peinture moyenne / pas d'origine.
En septembre, la charge de travail diminue à peine et je me décide enfin à la bichonner un peu, me disant à moi-même que je posterai sur le forum après restauration. Au programme :
- démontage complet,
- nettoyage,
- décapage de la peinture actuelle,
- peinture,
- remontage/réglage,
- création d'un système électrique adéquat. Au départ, la mise en route/l'arrêt se font par un gros relais télémécanique sur le côté de la machine qui est difficile d'accès en service et fait une verrue peu glorieuse.
Je prévois un remplacement par un relais plus pupitre de commande en 24v en façade.
C'est une machine très simple. Le démontage s'est dans l'ensemble passé sans encombre. Quelques écrous à roulement avec des perçages permettant en théorie de les démonter mon donné un peu de fil à retordre mais rien de méchant.
Après un ou deux dimanches matin,
Puis, mi octobre
Pour enlever la peinture et le vieil enduit, j'ai essayé : la brosse métallique, la ponceuse, le décapeur thermique... Mais la méthode que j'ai finalement retenue : le ciseau à bois et la patience. Un travail de longue haleine mais cathartique.
Je poste en restauration, mais un coup de main en dépannage sera le bienvenue aussi car je butte sur certain points...
En Mai dernier, je parcours un site d'annonce célèbre à la recherche d'une perceuse à colonne qui tienne la route pour équiper notre petit atelier de montage de prototypes.
Grâce au forum et après avoir eu entre les mains une petite Chomienne incomparable, je voulais me débarasser de notre horrible perceuse à colonne de GSB, qui, dans ses maigres limites nous rend quand même quelques précieux services.
Quelques appels, un camion de location et 2 heures de route plus tard, me voilà revenu avec la bête : fraiseuse Rouchaud limoges, n° de série FEV322.
Prix d'achat : 850€ avec quelques fraises.
Ses qualités :
- encombrement au sol très réduit,
- course en ZetX de 300mm,
- avance automatique sur l'axe x
- tête sensitive,
- construction type fraiseuse avec tous les axes en glissière prismatique.
- très silencieuse
Ses défauts :
- broche sur palier bronze en cm3, le palier du bas pisse un peu l'huile et je fini toujours par en avoir sur la blouse, un coup de main là-dessus sera bienvenu.
- course en y de 170mm,
- aucune inclinaison possible,
- changement de vitesse de broche et d'avance par changement de poulies pour la broche / pignon pour les avances, pas des plus pratique mais de toute façon, je n'ai qu'un jeu de chaque.
- peinture moyenne / pas d'origine.
En septembre, la charge de travail diminue à peine et je me décide enfin à la bichonner un peu, me disant à moi-même que je posterai sur le forum après restauration. Au programme :
- démontage complet,
- nettoyage,
- décapage de la peinture actuelle,
- peinture,
- remontage/réglage,
- création d'un système électrique adéquat. Au départ, la mise en route/l'arrêt se font par un gros relais télémécanique sur le côté de la machine qui est difficile d'accès en service et fait une verrue peu glorieuse.
Je prévois un remplacement par un relais plus pupitre de commande en 24v en façade.
C'est une machine très simple. Le démontage s'est dans l'ensemble passé sans encombre. Quelques écrous à roulement avec des perçages permettant en théorie de les démonter mon donné un peu de fil à retordre mais rien de méchant.
Après un ou deux dimanches matin,
Puis, mi octobre
Pour enlever la peinture et le vieil enduit, j'ai essayé : la brosse métallique, la ponceuse, le décapeur thermique... Mais la méthode que j'ai finalement retenue : le ciseau à bois et la patience. Un travail de longue haleine mais cathartique.
Dernière édition: