Salut salut
Presque un moi et demi que je vous ai dit que j’allais me mettre à la partie électrique, c‘est fou ce que le temps passe vite !
Il aura fallu le temps mais ça y est, c’est fait et c’est fini !
Voilà donc l’armoire, fixé derrière la machine, je l‘est monté sur charnière afin de pouvoir la déporté sur un côté quand je voudrais ouvrir la porte arrière de la fraiseuse pour avoir accès à l’intérieur. C’est très pratique !
Bon je vous l’accorde elle fait un peu (beaucoup ?) mastoc, c’est surtout vrai en profondeur, ses 300mm me sont bien inutile, une armoire standard de 200mm aurait été bien suffisant, mais c’est de la récupération alors quand c’est gratos on ne crache pas dessus !
Oui oui, je sais, vous voulez voir ce que j’ai bien pu mettre dedans pour prendre aussi gros, ça arrive !
Voilà tout !
Ça fait mine de rien « pas mal » de monde qui se cache là dedans, ça me laisse encore pas mal de place pour d’éventuelle modif‘ ou rajout à l’avenir, comme par exemple une visu
Alors pourquoi avoir fait si compliqué alors qu’il n’y à que deux moteur à démarrer ?
D’abord j’ai voulu conserver toutes les commandes d’origine de la machine, y compris le levier pour la mise en marche, mais comme le maintien en marche se fait mécaniquement par un cran forcée, c’est pas très sécu, alors tant que j’y était, j’ai voulu sécuriser ça, mais de manière électrique seulement pour ne pas chimistré la machine en elle même.
Ensuite, étant l’heureux possesseur d’une tête rapide, j’ai voulu avoir deux boutons de marche par à coup, un dans chaque sens de marche, c’est plus pratique pour faire du taraudage, et les commandes d’origine ne me le permettait pas.
Enfin j’ai voulu faire un pupitre auxiliaire qui soit plus à portée de main lorsque je suis au travail devant la machine, une sorte de doublon du pupitre d’origine à quelques différence près, je l’est donc placé en hauteur à gauche de la tête.
Le voici :
Je me retrouve donc avec les commandes suivantes :
- Sur le pupitre d’origine de la fraiseuse, un voyant sous-tension général, un arrêt urgence, une commande simple pour la pompe lub’ , un BP de marche par à coup pratique pour le changement de vitesse, et un commutateur d’inversion du sens de marche qui ne concerne que les commande d’origine de la fraiseuse donc le BP de marche par à coup et la mise en marche avec le levier.
- Sur la console, le levier qui me permet la mise en marche à gauche, et le freinage de la broche à droite ainsi qu’un arrêt d’urgence en façade sous la manivelle du Y.
- Sur le pupitre auxiliaire, un arrêt urgence (oui je sais ça en fait déjà trois sur une machine qui est finalement très peu automatisé, ça commence à faire beaucoup, mais bon c’était plus pour le principe qu’autres chose), un voyant qui m’indique la mise sous tension des commandes de la machine (sécurisation du levier de marche d’origine), un bouton de marche avant classique (en vert au milieu), un bouton de marche arrière classique (en noir au milieu), un bouton d‘arrêt (en rouge au milieu), un bouton de marche avant par à coup (en vert à gauche, idéal pour le taraudage), un bouton de marche arrière par à coup (en noir à gauche, idem pour taraudage), et enfin un commutateur trois position pour la pompe lub’ qui me permet soit un arrêt, soit une marche forcée, soit une marche auto couplé avec la broche, enfin j’ai prévu deux emplacement de libre pour anticiper d’éventuelles commandes futur, notamment pour un éclairage.
Je sais pas si j’ai été bien clair, mais c’est finalement assez pratique à l’usage, et j’apprécie particulièrement le levier d’origine, que je trouve très pratique car tout de suite sous la main et permet à lui seul la mise en marche et le blocage de la broche pratique pour le changement d’outil (pas besoin de s’embêter à changer les vitesses) qui sont les opérations les plus fréquentes.
Pour la sécurisation de ce levier, j’ai simplement fait en sorte qu’à la suite d’un arrêt d’urgence, aucune des commandes de la machine ne soit alimentées tant que le levier n’est pas remis en position centrale, et ceux par un jeux de relais avec temporisation de certains contact pour priorisé leur ouverture ou fermeture sur d‘autres afin d’obtenir le fonctionnement voulu.
Les tempos sont toutes réglées au minimum, soit 1/10ème de seconde (précision relative car « vielles » temporisations mécanique), ce qui donne à l’usage un fonctionnement très fluide et agréable comme si elles n’étaient pas là. Je veux dire par là que je ne perçois pas de temps de latence entre l’appuie sur la commande et le fonctionnement de la machine.
Je vais pas rentrer bien plus dans les détails c’est pas facile par écrit, mais je pourrais le faire si il y as des intéressés
Pour le plaisir des yeux, voici deux photos de ma belle Dufour, qui est désormais terminé et opérationnelle !
Les fils en attente qu’on voit sur le côté de la machine sont ceux prévu pour la Jieldé d’origine, portée disparu …
Désormais, il ne me manque plus qu’à redonner un coup de jeune à la tête universelle et à finir son étau mais là j‘attend un produit depuis plus d‘un moi qui est en réapprovisionnement chez le fournisseur, sans délai évidement !
Allez bonne journée à vous !
Rich