J
j.f.
Compagnon
Bonsoir à tous.
Les fabricants de fraises donnent des paramètres de coupe, mais sans indiquer la puissance et la rigidité nécessaires.
Donc, faut réduire.
Alors je me pose des questions. Intuitivement, je me dis que la puissance et les efforts sont proportionnels à la quantité de matière enlevée. Mais il y a le risque de passer sous le copeau minimum. Alors je me dis que pour conserver le même copeau, il faut aussi diviser la vitesse de rotation dans la même proportion.
Pour des outils HSS ou carbure micrograin, pas des outils à plaquettes (outils avec du tranchant), et sans tenir compte du nombre de lèvres, ni des pénétrations radiale et axiale. Si on peut jouer sur ces deux derniers paramètres, que vaut-il mieux ? Réduire avance et fréquence rotation, ou bien les pénétrations ? En tenant le même raisonnement sur la quantité de matière enlevée par unité de temps.
Par ailleurs, que ce soit en coupant un steak ou en perçant des trous, on remarque que si ça ne va pas assez vite, ça ne coupe pas bien, qu'il faut forcer plus et que c'est pas joli. Un steak (ou les doigts) on le voit à l’œil nu : ce qui est sous le couteau se déforme et il faut beaucoup de pression pour passer à travers. C'est pareil pour le métal ? Visco-élasticité ou truc du genre ?
Autre analogie avec le steak et le couteau : le pas d’hélice des lèvres d'une fraise. Mais je me goure peut être... Plus le pas est serré, plus la fraise coupe en tirant (comme un couteau dont on passe le fil en tirant sur la bidoche). Sur une petite machine, on n'aurait pas intérêt à utiliser des fraises avec un pas d'hélice plus serré ?
Et une dernière. Sur le jambon. C'est plus facile de faire des tranches fines dans du jambon de Bayonne ou du Serrano (dur) que dans du jambon de Paris. Y a-t-il une relation entre dureté de la matière et copeau minimum ? J'ai cette impression en comparant un acier dur qui donne plus facilement un bel état de surface que de l'alu brut ou de l'acier étiré...
Put1, j'ai faim, maintenant
C'est malin !
Je descends voir le frigo...
Les fabricants de fraises donnent des paramètres de coupe, mais sans indiquer la puissance et la rigidité nécessaires.
Donc, faut réduire.
Alors je me pose des questions. Intuitivement, je me dis que la puissance et les efforts sont proportionnels à la quantité de matière enlevée. Mais il y a le risque de passer sous le copeau minimum. Alors je me dis que pour conserver le même copeau, il faut aussi diviser la vitesse de rotation dans la même proportion.
Pour des outils HSS ou carbure micrograin, pas des outils à plaquettes (outils avec du tranchant), et sans tenir compte du nombre de lèvres, ni des pénétrations radiale et axiale. Si on peut jouer sur ces deux derniers paramètres, que vaut-il mieux ? Réduire avance et fréquence rotation, ou bien les pénétrations ? En tenant le même raisonnement sur la quantité de matière enlevée par unité de temps.
Par ailleurs, que ce soit en coupant un steak ou en perçant des trous, on remarque que si ça ne va pas assez vite, ça ne coupe pas bien, qu'il faut forcer plus et que c'est pas joli. Un steak (ou les doigts) on le voit à l’œil nu : ce qui est sous le couteau se déforme et il faut beaucoup de pression pour passer à travers. C'est pareil pour le métal ? Visco-élasticité ou truc du genre ?
Autre analogie avec le steak et le couteau : le pas d’hélice des lèvres d'une fraise. Mais je me goure peut être... Plus le pas est serré, plus la fraise coupe en tirant (comme un couteau dont on passe le fil en tirant sur la bidoche). Sur une petite machine, on n'aurait pas intérêt à utiliser des fraises avec un pas d'hélice plus serré ?
Et une dernière. Sur le jambon. C'est plus facile de faire des tranches fines dans du jambon de Bayonne ou du Serrano (dur) que dans du jambon de Paris. Y a-t-il une relation entre dureté de la matière et copeau minimum ? J'ai cette impression en comparant un acier dur qui donne plus facilement un bel état de surface que de l'alu brut ou de l'acier étiré...
Put1, j'ai faim, maintenant
C'est malin !
Je descends voir le frigo...