Salut !
Pour ma part, devant le piteux état de l'émaillage des fils de bobinages, j'ai fait rebobiner le moteur par une boîte super pro qui travaillait entre autres pour le métro d'une ville française que je nommerai pas.
Tant qu'à faire, je suis passé en triphasé.
Impecc !
Je branche le bouzin qui en 20 secondes émet un fumet particulier annonciateur d'une prochaine fumée très malodorante.
Arrêt immédiat !
Retour de la bête chez le grand spécialiste, retour à la maison, et là le fumet est apparu au bout de trois minutes...
J'ouvre le bourrin et m'aperçois que les fils n'ont pas été changés, mais simplement rallongés...
De guerre lasse, j'ai branché mon bourrin sur le transfo tri 280/220 du tour Jenny et ô merveille plus aucun relent de vernis surchauffé !
Il y a bientôt trente ans que ma pauvre perceuse tourne ainsi ...
Bon, faut croire que les spécialistes de moteurs d'avant garde ont oublié les bases de leur métier...
Cordialement, Bertrand.
Ah ! Oui !
Il y a bien un blocage du quill, je m'en sers surtout pour réduire au minimum son jeu dans le fourreau quand je perce avec des forets de moins de 2mm Et non, c'est bien une perceuse dont l'arbre cannelé se termine par un cône...B16, je suppose. Je suppose parce que j'ai dû le réusiner tant il était esquinté quand j'en ai hérité.