quel degré d'humidité pour éviter la rouille ?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion ilfaitvraimentbeau
  • Date de début Date de début
bjr,
j'avais des problèmes de condensation sur mes machines jusque l'an dernier (quand l'atmosphère se réchauffe). J'avais trouvé une parade assez efficace, simplement couvrir mes machines avec de grands plastiques. Ça limitait les mouvements d'air au contact de la machine froide. Bien sûr il fallait quand même surveiller, et huiler un peu de temps en temps. J'ai refait mon atelier entre 2022 et 2023 (toiture, sous-toiture, bonne isolation partout), et depuis n'ai plus aucun problème. J'évite de laisser la porte ouverte dans les périodes de réchauffement bien sûr. J'ai d'ailleurs mis un fil sur cette question d'humidité, car après avoir posé ma toiture, mais avant isolation, j'avais des condensations partout comme jamais. J'avais peur de terminer les travaux, car avec la sous-toiture, on ne voit plus ce qui se passe. Sur les conseils, entre autres, du forum, j'ai modifié pour mieux aérer sous la toiture (bacs acier simples) et j'ai terminé les travaux. Plus aucun problème à signaler.
 
Bonjour
Là par contre c'est moins bien. Ce n'est pas de temps en temps à 60 ou 50%, c'est tout le temps, jour et nuit, 24h/24 et 365j/365 8-) !
Pourquoi est ce pire ? Parce que l'humidité revient très vite, parce que une fois sec l'air à température constante si on néglige la chaleur du compresseur du déshumidificateur cela fait comme du sucre et accélère un phénomène qui pomperait en quelque sorte de l'humidité ? Le niveau d'humidité ne peut se stabiliser dans ces conditions à cause de l'air qui veut se sature dans ces conditions ?

J'ai vu sur www une notion de correcteur thermique qui appliqué sur un mur permet de diminuer le ressenti de froid, par exemple du liège. Considérant ce fait est ce qu'il n'y a pas quelque chose à faire pour avoir un impact positif contre l'humidité dans un environnement donné ? L'idée serait de stabiliser ou du moins diminuer les évolutions de la température.
cdlt lion10
 
Pourquoi est ce pire ?
Je n'ai pas dit que c'était pire d'utiliser un déshumidificateur. J'ai voulu dire que si on en utilisait un, c'est bien, mais il faut l'utiliser tout le temps plutôt que de temps en temps. De toute façon le déshumidificateur régule le taux d'humidité. Il n'y a pas de question à se poser, on le laisse en fonctionnement et il se débrouille :-D.

Mon commentaire était relatif au taux d'hygrométrie qui doit en permanence être dans la bonne fourchette.
Tout simplement parce que si on veut éviter les problèmes de condensation il faut un taux hygrométrique correct en permanence. Si le taux n'est pas correct on se retrouve avec des problèmes. Faut pas chercher plus loin le raisonnement.

Parce que l'humidité revient très vite, parce que une fois sec l'air à température constante si on néglige la chaleur du compresseur du déshumidificateur cela fait comme du sucre et accélère un phénomène qui pomperait en quelque sorte de l'humidité ?
Si on arrête le déshumidificateur il n'y a plus la chaleur du moteur de toute façon. Mais le sujet n'est pas là. Si on a asséché la pièce et qu'on arrête le déshumidificateur, l'humidité va revenir comme avant. C'est comme si on avait un réservoir que l'on remplit avec un petit tuyau. On ouvre une grosse vanne en bas, il se vide. Si on referme la vanne il se remplit à nouveau.

En final ce n'est pas pire qu'avant, c'est juste redevenu pareil avec la même misère

Le niveau d'humidité ne peut se stabiliser dans ces conditions à cause de l'air qui veut se sature dans ces conditions ?
Il n'est pas question de saturation. Si on part par exemple d'une pièce à 70% de taux d'hygrométrie, que l'on assèche à 50 % avec un déshumidificateur en marche en permanence, si on ne le fait plus fonctionner que 50% du temps, en moyenne on aura un taux à 60%, si les temps arrêt marche sont rapprochés. Si on arrête et on met en marche par semaines, on aura une semaine à 70 % avec des problèmes et une semaine à 50 % sans problèmes. Je ne vois pas l'intérêt de la démarche.
 
Dernière édition:
Bonjour
ok c'est clair sauf à traiter si possible les entrées de l'humidité si on choisit de mettre un déshumidificateur il faut considérer une ligne de frais fixe sous excell...
cdlt lion10
 
aujourd’hui, toujours sans chauffage , et avec trotec j'ai 60 % ( avec un seul appareil pour 200 m2) et 14 ° , dehors il pleut , mais ce matin il faisait moins 4 ° ce qui donne en réel , moins........................................10 cms :sad:
 
Bonsoir à tous
J'ai mis un petit déshumidificateur, avec une pendule programmable, il fonctionne tous les jours pendant 3 heures,
de 88% il y à 10 jours je suis descendu à 65%, pas d'oxydation sur les machines,
000 Déshumidificateur.jpg

Il redémarre même après une coupure de courant,
la quantité d'eau varie suivant le temps extérieur,
Cordialement.
jpal7@
 
Les miens , peuvent se raccorder a la vidange de la maison , le seul inconvénient dans ce ca, tu ne sait pas si tu tire 5 litres ou 10 litres dans le même temps , et si tu nettoie pas le filtre a poussière , tu ne te rend pas compte que l’appareil est moins efficace , donc si raccord sur vidange , surveillé souvent le filtre a poussière ( 2 secondes) éteindre l'appareil si le sol est trop poussiéreux et que l'on donne un coup de balai , ça évite que la poussière salie le filtre
 
Je n'ai pas dit que c'était pire d'utiliser un déshumidificateur. J'ai voulu dire que si on en utilisait un, c'est bien, mais c'est mieux de l'utiliser tout le temps que de temps en temps. De toute façon le déshumidificateur régule le taux d'humidité. Il n'y a pas de question à se poser, on le laisse en fonctionnement et il se débrouille.

Mon commentaire était relatif au taux d'hygrométrie qui doit en permanence être dans la bonne fourchette, pas une fois de temps en temps.
Tout simplement parce que si on veut éviter les problèmes de condensation il faut un taux hygrométrique correct en permanence. Si le taux n'est pas correct on se retrouve avec des problèmes. Faut pas chercher plus loin.


Si on arrête le déshumidificateur il n'y a plus la chaleur du moteur de toute façon. Mais le sujet n'est pas là. Si on a asséché la pièce et qu'on arrête le déshumidificateur, l'humidité va revenir comme avant. C'est comme si on avait un réservoir que l'on remplit avec un petit tuyau. On ouvre une grosse vanne en bas, il se vide. Si on referme la vanne il se remplit à nouveau.

En final ce n'est pas pire qu'avant, c'est juste redevenu pareil.


Il n'est pas question de saturation. Si on part par exemple d'une pièce à 70% de taux d'hygrométrie, que l'on assèche à 50 % avec un déshumidificateur en marche en permanence, si on ne le fait plus fonctionner que 50% du temps, en moyenne on aura un taux à 60% si les temps arrêt marche sont rapprochés. Si on arrête et on met en marche par semaines, on aura une semaine à 70 % avec des problèmes et une semaine à 50 % sans problèmes. je ne vois pas l'intérêt de la démarche.
en ce moment j'ai 64 % , quand je descend a 50 ou 55 % , que j’éteins l'appareil , en 24 heures , parfois moins , parfois plus , je peu dépasser largement les 80 % donc il faut absolument un hygromètre en + pour surveiller , j'habite juste au bord du Tarn, et en + en ce moment il y a un brouillard a coupé a au couteau, si on utilise un déhumidificateur n'importe comment , ou bien ça rouille , ou bonjour la consommation ( 4 fois moins depuis que j'ai mon hygromètre pour surveiller .
Pour la rouille ça peu se voir 1 jour, ou 3 jours après que ça re rouille , pour ce qui est des contactes électriques ça se vois que quand ça commence a merder , oxydation des contactes non visibles :spamafote:
 
@FB29 ,
Bonsoir à tous
J'ai mis un petit déshumidificateur, avec une pendule programmable, il fonctionne tous les jours pendant 3 heures,
de 88% il y à 10 jours je suis descendu à 65%, pas d'oxydation sur les machines,

Il redémarre même après une coupure de courant,
la quantité d'eau varie suivant le temps extérieur,
Cordialement.
jpal7@
J'ai grosso modo le même que toi, avec les mêmes caractéristiques et sur horloge programmable, la seule chose que j'ai fait, c'est de mettre un écoulement directement dans le tout à l'égout, mare de vider.
Je le fais tourner en HC la nuit plus de soucis.

Je ne sais pas si tu as une sortie pour vider le réservoir automatiquement, moi j'en avais une, mais pas pratique à mettre en place.
J'ai percé le réservoir et mis un système de plomberie en 20/27 et hop.
Je ne m'en occupe plus, sauf à date fixe un coup de soufflette sur le filtre.
Tout nickel-chrome :lol:
 
J'ai juste une pastille prés découpée ( pret???) :smt017, juste a appuyer pour la casée, et juste un petit tuyau plastique a emmancher , pas de risque de fuite , car pas de pression , cette rondelle n'est pas dans le réservoir , mais derrière l'appareil, et quand on enlève le réservoir on voit bien le petit zizi qui dépasse, j'ai l'impression qu'il l'ont tous , maintenant si ce n'est pas prévu ( étonnant ) le coup du raccord en 20/27 , est je pense , la seule solution:)
 
Dans l'ordre c'est "pré" :-D

Pour la pastille, je l'ai aussi, mais le manchon pour fixer le tube d'évacuation est trop court, c'est une prise de tête pour fixer le tuyau et en plus il fuit et il faut mettre un collier et c'est galère...
Une fois ça de fait, le système continue de laisser passer un goute à goute dans le réservoir, résultat mon 20/27 est bien mieux :lol:
 
Merci " pré" je vais essayer de m'en rappeler :smt023
Ben effectivement , si ça fuit , le coup de 20/27 est bien , mais il faut dans ce cas , surveiller l'état de propreté du filtre , car on ne peu pas se rendre compte, puisque l'on ne peu pas voir a quelle vitesse l'eau s'écoule , selon les saisons
 
Malgré mon bâtiment tout en bois, et à cause du choque thermique de la semaine dernière, j'ai eu une légère humidité sur l'enclume, mais pas grand chose, j'imagine ceux qui n'ont pas d'isolement, ça devait être tout trempé ? bon courage...
 
Bonjour à tous,

J'ai le malheur (du moins sur cet aspect là), d'habiter en bordure d'un fleuve, et qui plus est, dans une région réputée "humide"...

Quand j'ai fait construire mon petit hangar, j'ai souhaité qu'il soit isolé, pour une bonne conservation de mes véhicules anciens.

Le toit est donc constitué de panneaux sandwich, et les murs sont en bardage bois côté extérieur, et en agglo (panneaux de bois aggloméré), côté intérieur, séparés par une lame d'air et de la laine de roche.

Seules les portes ne sont pas isolées (pas pris le temps de le faire...).

Mais dès les premiers mois, en été, à l'utilisation du compresseur je me suis rendu compte qu'il fallait augmenter la purge (de quotidienne à bi-quotidienne ; voire plus).

J'ai ajouté un déshumidificateur : il me sortait plus de 6L/jour (la capacité maxi de son réservoir) ; aussi j'ai dû le relier directement à une évacuation [Au passage, j'ai bien pris note de la remarque dans l'un des messages ci-dessus, s'agissant du trop d'extraction).

Mais arrivé l'hiver, le hangar n'étant pas chauffé, l'évaporateur du déshumidificateur se prenait en glace (forcément...), et je ne l'ai plus utilisé (voir plus loin).

Sauf que...

Dès lors qu'il fait un épisode de froid, suivi d'une journée de remontée en température, C'EST LA CATA...

Tout ce qui se trouve dans le hangar (de l'outillage aux véhicules, en passant par les affiches de déco), ruisselle d'humidité). C'est le même principe que quand on sort une bouteille d'eau du frigo l'été : la vapeur d'eau se condense au contact des surfaces froides, et se précipite en eau.

L'exemple de la semaine dernière était "géant" : 4 jours entre -3 la nuit et +1 la journée, suivi d'une journée à 10° : les chutes du Niagara (j'éxagère à peine...)
La voiture (moderne = trempée comme je venais de l'arroser au jet, les outils : pareil, et le socle de la fraiseuse idem (et même en l'essuyant ça continue, forcément tant qu'il est froid).

Du coup, j'envisage un truc tout bête (moins bête que moi qui n'y ai pas songé plus tôt...) : je vais bricoler une résistance de dégivrage sur l'évaporateur de l'extracteur d'humidité. Il faut toutefois que je trouve une combine pour que celle-ci ne se déclenche qu'à l'arrêt du groupe froid, sinon la machine ne servira à rien... (et j'y connais que dalle en électricité, à part "le fil rouge sur le bouton rouge...). Mais dans tous les cas, voilà l'idée... surtout avec désormais la présence de la fraiseuse (j'ai aussi une plieuse, mais les doigts sont graissés quand je ne m'en sert pas, alors ça va [sauf la poignée qui elle a complètement rouillé...]

En synthèse : un projet à suivre...
 
j'ai souhaité qu'il soit isolé
Si il est bien isolé, tu peux peut-être tenter de la chauffer ? Mais ça risque de coûter cher ... Tu pourrais faire une estimation des pertes thermique pour avoir une idée du coût annuel ...

On avait déjà fait ça par le passé. Il faudrait que je retrouve la discussion. En PJ un tableau Excel d'évaluation de l'époque que tu pourrais modifier pour ton cas.
 

Fichiers joints

Le chauffer serait la ruine assurée : il fait 120 m2 au sol + 80 m2 de mezzanine, avec une tranche toute hauteur à près de 6m...

Pour te donner une idée : j'ai un canon à air chaud qui fonctionne au propane, sans régulation thermostatique : je l'ai utilisé l'année dernière avant de repeindre partiellement un véhicule, car il faisait 12°, ce qui est insuffisant.

Pour atteindre 18 à 19° en ambiance (ce qui est encore trop bas pour peindre, même avec une base solvantée), j'ai consommé environ 6kg de gaz (la bouteille de 13 kg gelait, bien que stockée en intérieur (ce qui n'est pas le top pour du propane). Même sans régulation, je n'ai jamais pu dépasser cette température, ce qui en dit long sur les pertes... (déjà par la faitière à la jonction des panneaux sandwich, et par convection sur les portes).

Bref, chauffer ce truc est impayable... :(


Pour ceux intéressés par les travaux sur le Saviem ci-dessous, voici le lien : https://photos.app.goo.gl/VtoFUaPXm41XZqGa7
On part de loin...

@+ Iseki :)

P0.jpg


20240221_110623.jpg


P1.jpg


P3.jpg


P4.jpg
 
je vais bricoler une résistance de dégivrage sur l'évaporateur de l'extracteur d'humidité.
Plus simple, un radiateur soufflant. Régler au mini avec un gradateur au besoin. Mais il ne faut pas que le ventilateur s'arrête de tourner. Ça dépend des modèles. Certain ont le ventilateur en série avec la résistance alors ça ne va pas, d'autres ont le ventilateur en parallèle, directement sur le réseau et là on peut réduire la puissance sur la résistance séparément. Si le radiateur est un modèle avec plusieurs puissances sélectionnables on est dans le second cas en général.

Sinon un sèche cheveux doit suffire :-D.

j'ai un canon à air chaud qui fonctionne au propane
C'est trèèèèès mauvais :???: ! La combustion du gaz libère 2 volumes de vapeur d'eau pour un volume de gaz consommé :eek: !!
Sans parler de résidus de combustion potentiellement corrosifs :shock:.

les pertes... (déjà par la faitière à la jonction des panneaux sandwich, et par convection sur les portes).
Dans ton cas le mieux serait de rendre le local étanche à l'air extérieur, puisque l'humidité vient de là. Ensuite faire tourner un ou plusieurs déshumidificateurs.

Quand l'air intérieur a été asséché, limiter au maximum les ouvertures de portes.

Ne pas travailler portes ouvertes évidemment.

Ne pas rentrer de véhicule qui a roulé sous la pluie :o !!! Car toute l'eau présente sur le véhicule devra être extraite par les déshumidificateurs :???: .
Dans mon garage isolé et chauffé à 18 °C :oops:, si j'ai le malheur de rentrer la voiture mouillée, j'ai de la condensation ruisselante sur le pourtour de la porte du garage pendant 2 jours. Dans ces cas là seulement j'ouvre les soupiraux pour chasser l'excédent de vapeur d'eau à l'intérieur par rapport à l'extérieur.
 
Dernière édition:
C'est trèèèèès mauvais :???: ! La combustion du gaz libère 2 volumes de vapeur d'eau pour un volume de gaz consommé :eek: !!
Sans parler de résidus de combustion potentiellement corrosifs :shock:.
Je confirme, la mise en marche de mon canon à air chaud au gaz, était une catastrophe quand je le mettais en marche, même avec un déshumidificateur actif.
20mn de chauffe et 3 heures de déshumidification pour retrouver des machines sèches.
 
Dans ton cas le mieux serait de rendre le local étanche à l'air extérieur, puisque l'humidité vient de là.

J'ai un atelier de 60m² avec toiture tuiles 1 pente (hauteur max 5.70 mini, 3.40) murs parpaings, aucune isolation.
Si je laisse le portail ouvert, c'est la cata, tout ruisselle. Par-contre, en maintenant le portail fermé, plus de problème. On a eu des journées froides suivies d'un très brusque redoux, je sens bien, quand je rentre dans l'atelier qu'il y fait beaucoup plus frais qu'à l'extérieur...
 
Dernière édition:
Merci pour vos réactions !

S'agissant du gaz, je suis bien sûr au fait que sa combustion dégage de la vapeur d'eau, mais remonter la température en ambiance, remonte aussi le point de rosée, condition sine qua non pour éviter l'effondrement du film de peinture dès les premières passes.

Ce que j'ignorais en revanche, c'est la diffusion de composés corrosifs (mais je viens de vérifier ; à priori ce n'est pas le cas :

Réponse IA de Brave :

La combustion complète du propane ne produit généralement pas de composés corrosifs. L’équation de la réaction de combustion du propane est la suivante :

C3H8+5O2→3CO2+4H2O+eˊnergie thermique

Cette réaction produit du dioxyde de carbone (CO2) et de l’eau (H2O), qui ne sont pas corrosifs. Cependant, si la combustion est incomplète, elle peut produire du monoxyde de carbone (CO), qui est toxique mais pas nécessairement corrosif.

Il est important de noter que dans certaines conditions, des composés tels que le carbone peuvent également être produits lors d’une combustion incomplète, mais ces composés ne sont pas corrosifs. Pour éviter toute production de composés toxiques ou corrosifs, il est recommandé de bien régler les appareils utilisant du propane et de veiller à une aération adéquate.

Cela dit, ce coup de chauffe fut exceptionnel : j'aurais dû avoir terminé ce chantier bien plus tôt (c'est un véhicule que j'ai vendu dans le cadre du déstockage de ma modeste collection), mais le décès de mon mère aura, vous vous en doutez, rebattu un peu les cartes en termes d'organisation et de planning... Généralement quand j'ai de la peinture carrosserie à faire, ce qui n'est pas courant, je m'en charge en fin de printemps, mais dans le cas présent, on était fin février 2024...

Bref, il va falloir que je trouve malgré tout une solution pour cette condensation, qu'évidemment je n'aurais pas eue dans une telle mesure si le hangar n'était pas isolé (le comble...). Vu que j'exclue totalement de le chauffer pour d'évidentes raison économiques, il ne me reste plus qu'à travailler sur l'extraction de l'humidité et parfaire le niveau d'isolation en m'occupant des portes (j'ai de grands panneaux d'extrudé : ça devrait convenir. Reste la faîtière qui restera problématique à traiter.. A part peut-être par le dessous, via une sorte de caisson (il y 2 pannes faitières, chacune sur une des deux pentes du toit).

Voili, voilou...
 
C3H8+5O2→3CO2+4H2O+eˊnergie thermique
C'est exact mais incomplet. Une partie du CO2 vas se combiner à H2O et former de l'acide carbonique.
CO2 + H2O -> H2CO3.
C'est un acide faible.

Sinon oui, du moment que la température d'atelier dépasse celle du point de rosée, pas de condensation même avec un taux d'humidité relative de 88% (vécu). Cela nécessite un chauffage électrique utilisé ponctuellement dans mon cas, en anticipant l'arrivée de masses d'air chaudes et humides, par surveillance des évolutions des prévisions météo (dont celle de la t° de rosée).
 
Dernière édition:
je n'aurais pas eue dans une telle mesure si le hangar n'était pas isolé
parfaire le niveau d'isolation en m'occupant des portes
Ces deux propositions ne sont t'elles pas contradictoires :meganne: ?

Reste la faîtière qui restera problématique à traiter
Pour moi, à partir du moment ou tu déshumidifies, la priorité est de traiter l'entrée d'humidité dans le local.
Étancher au maximum pour éviter l'entrée d'air humide, ne pas introduire d'eau, ne pas utiliser de flamme nue.

du moment que la température d'atelier dépasse celle du point de rosée, pas de condensation même avec un taux d'humidité relative de 88% (vécu).
Il faudra alors garder en permanence une température de local au dessus du point de rosée, jusqu'à ce que le taux d'humidité soit retombé.
 
Il faudra alors de garder en permanence une température de local au dessus du point de rosée, tant que le taux d'humidité ne sera pas retombé.
Exact. Atelier peu isolé, qui bénéficie alors de l'augmentation de la température extérieure dans ces cas critiques mais avec de l'inertie. Le pire récent m'a contraint à chauffer environ 6 heures en amont de l'arrivée de la perturbation, et à peu près autant pendant.
 
Ces deux propositions ne sont t'elles pas contradictoires :meganne: ? Non puisque j'envisage de remettre en route l'extracteur


Pour moi, à partir du moment ou tu déshumidifies, la priorité est de traiter l'entrée d'humidité dans le local. Voilà, c'est ce que je compte faire
Étancher au maximum pour éviter l'entrée d'air humide, ne pas introduire d'eau, ne pas utiliser de flamme nue.
 
Oups !!! c'est ce qui est arriver à mon pote négociant en machines outils, chaud et froid ça pardonne pas, le choc thermique, les machines qu'il venait de restaurer étaient toutes trempées, obliger donc de les refaire, je lui ai donner un coup de main et du coup tout re-graisser derrière..., comment voulez vous chauffer 200 m2 de hangar avec plus de 6 m de haut, mission impossible...de plus c'est la foire aux courants d'air...
 
6 m de haut il faut commencer par faire un faux plafond.
Rien n'empêche de faire une pièce pour stocker et exposer les machines a la vente
C'est même plus accueillant pour les clients
 
6 m de haut il faut commencer par faire un faux plafond.
Rien n'empêche de faire une pièce pour stocker et exposer les machines a la vente
C'est même plus accueillant pour les clients
Pour un show room : oui / dans mon cas : non, car la travée libre "toute hauteur", est une réservation prévue à la construction pour installer un pont élévateur 4 colonnes
 

Sujets similaires

D
Réponses
0
Affichages
961
DidierV
D
D
Réponses
0
Affichages
1 230
DidierV
D
Retour
Haut