Oh grand maître Guy,
Je me permets ce petit message avec toute la déférence requise à votre éminence.
Effectivement les gens du CNTRL sont des
gens sans rigueur. Des gens de rien et de peu de savoir (mais au moins ils partagent le peu qu’ils ont), des imposteurs en quelque sorte, mais il y en a beaucoup en ce bas monde.
Il est vrai aussi que l’on doit aux immortels les éléphants, la presbyacousie certainement, et tant d’autres choses.
Je suis sincèrement désolé d'avoir provoqué chez vous autant d’embarras gastriques et de tourments linguistiques. Tout en espérant que cela n’a pas gâché votre sieste postprandiale dominicale, les précédentes et ne gâchera pas celles à venir.
Effectivement, à la lecture de vos écrits de très haute qualité et de vos contributions de très haut vol, dont l’utilité et la pertinence permettent d’apprécier à leur juste mesure l’étendue de vôtre savoir encyclopédique incommensurable, je ne suis qu’un nain posteur.
Et fier de l’être.
Du bas de ma petite échelle de nain posteur, à vous qui visez, entre autres, les sommets de la perfection langagière, je vous suggère d’occuper le poste de correcteur orthographique et grammatical pour Usinages. Une sorte d'antidote humain quoi (Druide (tm))
Cela vous vaudra très certainement la reconnaissance éternelle de toute l’usinagosphère et, qui sait, vous ouvrira certainement les portes de l’immortalité.
Au fait, grâce à l'excellence de vôtre contribution, j’ai trouvé la solution à mon souci.
Passons à l’inclusif :
Le.la flasque est remonté.e. Il me reste l’autre à faire.
Excellente fin de journée.
Moi, j’ai école demain. J’ai encore tant de choses à apprendre. Et c’est tant mieux.
Une petite pensée pour Pascal Pick qui nous dit que l’intelligence artificielle ne pourra jamais égaler celle de l’homme (et de la femme, soyons inclusifs) en ce sens que l’homme (et la femme aussi, hein) est (sont) le.s seul.es à créer des problèmes qu’il.elle ne sait (savent) résoudre.
Mon très cher Guy, tu permets que je t’appelle Guy, hein, je te salue bien bas du haut de ma banquise.
Je le sais, je suis une espèce en voie d’extinction. Et c’est tant mieux.
Mais il y en a d’autres aussi.