Une question, qui reviens souvent.
Idée d’en faire un sujet, venue lors d’une discussion avec un ami, rencontré sur le forum.
(Une pensée également pour Marcus, récemment intéressé par l’outil)
Je vais vous présenter ici, quelques travaux sortant de l’ordinaire, de l’utilisation, que l’on peut avoir d’un pantographe de gravure.
Ici, un Friedrich Deckel, G1L (le plus grand des G1), gravure en 2D.
Postulat de l’exercice, j’ai acheté une scie à ruban d’occasion, il manque les index gradués, pour régler l’archet aux coupes en angles.
Ou, comment perdre des heures, à reproduire de petits détails, absents, perdus, par des propriétaires peu soigneux.
Le poste de commande "avant".
Tout aux verniers et à la calculatrice, pas de visu.
D’où l’importance d’avoir une machine fluide, sans jeux et, une concentration totale.
La "règle", est enroulée sur la base fixe de l’archet.
Après avoir défini par tâtonnement les positions 0° et 30° (maxi), je divise ici, l’écart, par segments de 5°:
Je travail avec une fraise Nine9 à plaquettes jetables, histoire de "rentabiliser" un récent achat.
Habituellement, j’affute des fraises javelots aux cotes nécessaires.
Cette étape étant, "trop simple", je réduis au degré:
On passe maintenant sur le "poste arrière", avec la table de lecture.
Chablons de 20mm, réduction réglée a 1:5 soit, 4mm de hauteur lettrage.
Le risque d’erreurs est important entre les différents sens, positionnement...
Après un coup de Zebraline (le zèbre, le vrai), c’est plus Zoli:
Durée de l’exercice, une bonne matinée.
Montage et essais.
Je choisis volontairement de viser et non pas, riveter pour, pouvoir ajuster le zéro:
... essai de coupe, victoire !
...prochainement sur vos écrans, "ca sert à quoi, un projecteur de profil"...
Idée d’en faire un sujet, venue lors d’une discussion avec un ami, rencontré sur le forum.
(Une pensée également pour Marcus, récemment intéressé par l’outil)
Je vais vous présenter ici, quelques travaux sortant de l’ordinaire, de l’utilisation, que l’on peut avoir d’un pantographe de gravure.
Ici, un Friedrich Deckel, G1L (le plus grand des G1), gravure en 2D.
Postulat de l’exercice, j’ai acheté une scie à ruban d’occasion, il manque les index gradués, pour régler l’archet aux coupes en angles.
Ou, comment perdre des heures, à reproduire de petits détails, absents, perdus, par des propriétaires peu soigneux.
Le poste de commande "avant".
Tout aux verniers et à la calculatrice, pas de visu.
D’où l’importance d’avoir une machine fluide, sans jeux et, une concentration totale.
La "règle", est enroulée sur la base fixe de l’archet.
Après avoir défini par tâtonnement les positions 0° et 30° (maxi), je divise ici, l’écart, par segments de 5°:
Je travail avec une fraise Nine9 à plaquettes jetables, histoire de "rentabiliser" un récent achat.
Habituellement, j’affute des fraises javelots aux cotes nécessaires.
Cette étape étant, "trop simple", je réduis au degré:
On passe maintenant sur le "poste arrière", avec la table de lecture.
Chablons de 20mm, réduction réglée a 1:5 soit, 4mm de hauteur lettrage.
Le risque d’erreurs est important entre les différents sens, positionnement...
Après un coup de Zebraline (le zèbre, le vrai), c’est plus Zoli:
Durée de l’exercice, une bonne matinée.
Montage et essais.
Je choisis volontairement de viser et non pas, riveter pour, pouvoir ajuster le zéro:
... essai de coupe, victoire !
...prochainement sur vos écrans, "ca sert à quoi, un projecteur de profil"...