Une photo de l'arbre et de sa poulie, prise de plus près, confirmerait (ou pas) l'origine "Lurem" de cette partie de machine.
Si c'est bien, comme je crois le voir, du Lurem, il y avait entre la partie supportant les fers et la poulie, une "section" de l'arbre réservée au mécanisme d'entraînement du bois sur la table de rabotage. Cet entraînement se faisait par l'intermédiaire d'une bague vulcanisée (hélas introuvable maintenant), placée juste avant la poulie (maintenue en place par le serrage de cette dernière avec la vis, en bout d'arbre) et qui venait entraîner une grande roue en fonte lorsqu'on embrayait l'avance. C'est ce qui imposait cette distance importante entre fers et poulie.
Si tu as un tour à métaux, il est toujours possible de raccourcir l'arbre afin de ramener la poulie près de la portée du roulement. Mais est-ce raisonnable de se lancer dans cette modification ?
Quelque soit la solution retenue, il te faudra prévoir un "carter" pour la courroie et une protection au dessus des fers.
Si c'est bien, comme je crois le voir, du Lurem, il y avait entre la partie supportant les fers et la poulie, une "section" de l'arbre réservée au mécanisme d'entraînement du bois sur la table de rabotage. Cet entraînement se faisait par l'intermédiaire d'une bague vulcanisée (hélas introuvable maintenant), placée juste avant la poulie (maintenue en place par le serrage de cette dernière avec la vis, en bout d'arbre) et qui venait entraîner une grande roue en fonte lorsqu'on embrayait l'avance. C'est ce qui imposait cette distance importante entre fers et poulie.
Si tu as un tour à métaux, il est toujours possible de raccourcir l'arbre afin de ramener la poulie près de la portée du roulement. Mais est-ce raisonnable de se lancer dans cette modification ?
Quelque soit la solution retenue, il te faudra prévoir un "carter" pour la courroie et une protection au dessus des fers.