E
Elvin
Apprenti
Exactement une semaine après être arrivée à la maison, la petite machine reprend du service.
Après un bon nettoyage, vérifications et lubrification, j'ai d'abord fait fonctionner la machine à la main, comme un Rapide lime sur un carré d'acier qui trainait par là, l'histoire de vérifier la course du coulisseau, son réglage, ainsi que l'avance.
La question d'un démontage complet suivi d'une remise en peinture ne se posera pas pour moi, d'abord parce que cette machine est en très bon état et ensuite parce que mon temps est limité.
J'avoue aussi que mon courage à entreprendre un tel travail fait un peu défaut !
J'ai parcouru les nombreux sujets de rénovation et c'est pratiquement toujours un gros boulot.
Donc après un aller-retour de plus de 1000 Km au total, je suis revenu avec ce magnifique étau-limeur dans la remorque, bien calé en position horizontale.
N'ayant plus de grue d'atelier ( j'en avait une que j'ai revendu ) la mise en verticalité de l'engin fut assez sportive !
Je m'en suis sorti avec des cales et chevrons en bois,une barre à mine, des cordes, une grosse sangle à cliquet et … Une échelle en aluminium !
J'ai d'abord fait glisser l'ensemble machine et socle dans la remorque jusqu'à ce que le poids fasse basculer la benne, j'ai ensuite solidement arrimé le côté du socle qui portait au sol avec une corde aux butées de la remorque, afin que la machine ne glisse pas complètement par terre.
Ensuite j'ai fait levier sur le coulisseau avec un chevron en prenant appui sur la barre à mine posée en travers sur les montants de la remorque, puis calé sous la machine avec du bois.
j'ai réussi à monter comme ça au maximum jusqu'au moment où je n'avais plus d'appui suffisant sur l'étau-limeur. J'étais encore bien loin de la verticale !
J'ai eu l'idée de prendre la machine sous le coulisseau avec une corde, mais il fallait que le point de traction soit suffisamment haut et je n'avais pas de lieu élevé à proximité.
Donc j'ai utilisé une échelle en alu pour faire grue et déplacer le point de traction vers le haut en fixant ma corde pratiquement en haut de l'échelle .
J'ai ensuite fixé sur l'échelle une autre corde elle-même fixée sur la sangle à cliquet qui allait me servir de tirfor et fixée à l'autre bout sur un mur à proximité.
Avec ce système j'ai pu petit à petit gagner quelques degrés d'inclinaison de la machine, fixer ce que j'avais gagné avec une autre corde pour libérer la sangle puis la reprendre à nouveau après avoir dévidé la roue du cliquet !
Bien sûr j'avais installé des roulettes sous le socle avant toutes ces manoeuvres . Une fois à la verticale sur ses roulettes j'ai pu acheminer sans peine l'étau-limeur jusque dans l'atelier.
Après avoir commandé et réceptionné un variateur pour l'alimentation du moteur triphasé, j'ai eu pas mal de difficultés pour faire fonctionner l'ensemble, la notice du variateur étant assez sommaire.
Mais après de nombreuses tentatives de programmation le moteur s'est enfin mis à tourner !
Une poulie en dural m'a servi à faire mes premiers copeaux
Après un bon nettoyage, vérifications et lubrification, j'ai d'abord fait fonctionner la machine à la main, comme un Rapide lime sur un carré d'acier qui trainait par là, l'histoire de vérifier la course du coulisseau, son réglage, ainsi que l'avance.
La question d'un démontage complet suivi d'une remise en peinture ne se posera pas pour moi, d'abord parce que cette machine est en très bon état et ensuite parce que mon temps est limité.
J'avoue aussi que mon courage à entreprendre un tel travail fait un peu défaut !
J'ai parcouru les nombreux sujets de rénovation et c'est pratiquement toujours un gros boulot.
Donc après un aller-retour de plus de 1000 Km au total, je suis revenu avec ce magnifique étau-limeur dans la remorque, bien calé en position horizontale.
N'ayant plus de grue d'atelier ( j'en avait une que j'ai revendu ) la mise en verticalité de l'engin fut assez sportive !
Je m'en suis sorti avec des cales et chevrons en bois,une barre à mine, des cordes, une grosse sangle à cliquet et … Une échelle en aluminium !
J'ai d'abord fait glisser l'ensemble machine et socle dans la remorque jusqu'à ce que le poids fasse basculer la benne, j'ai ensuite solidement arrimé le côté du socle qui portait au sol avec une corde aux butées de la remorque, afin que la machine ne glisse pas complètement par terre.
Ensuite j'ai fait levier sur le coulisseau avec un chevron en prenant appui sur la barre à mine posée en travers sur les montants de la remorque, puis calé sous la machine avec du bois.
j'ai réussi à monter comme ça au maximum jusqu'au moment où je n'avais plus d'appui suffisant sur l'étau-limeur. J'étais encore bien loin de la verticale !
J'ai eu l'idée de prendre la machine sous le coulisseau avec une corde, mais il fallait que le point de traction soit suffisamment haut et je n'avais pas de lieu élevé à proximité.
Donc j'ai utilisé une échelle en alu pour faire grue et déplacer le point de traction vers le haut en fixant ma corde pratiquement en haut de l'échelle .
J'ai ensuite fixé sur l'échelle une autre corde elle-même fixée sur la sangle à cliquet qui allait me servir de tirfor et fixée à l'autre bout sur un mur à proximité.
Avec ce système j'ai pu petit à petit gagner quelques degrés d'inclinaison de la machine, fixer ce que j'avais gagné avec une autre corde pour libérer la sangle puis la reprendre à nouveau après avoir dévidé la roue du cliquet !
Bien sûr j'avais installé des roulettes sous le socle avant toutes ces manoeuvres . Une fois à la verticale sur ses roulettes j'ai pu acheminer sans peine l'étau-limeur jusque dans l'atelier.
Après avoir commandé et réceptionné un variateur pour l'alimentation du moteur triphasé, j'ai eu pas mal de difficultés pour faire fonctionner l'ensemble, la notice du variateur étant assez sommaire.
Mais après de nombreuses tentatives de programmation le moteur s'est enfin mis à tourner !
Une poulie en dural m'a servi à faire mes premiers copeaux