Z
ZAPJACK
Compagnon
Comme dans mon précédent guide sur l’usinage d’un vilebrequin V12, je vous présente les étapes de la construction d’un modèle de vilebrequin pour moteur 4temps de 4 cylindres en ligne. Inversé en l’occurrence.https://www.usinages.com/threads/usinage-dun-vilebrequin-v12-ech-1-4.46102/
La méthode présentée correspond à mon parc de machines-outils et peut donc différer d’une personne à l’autre. Cette méthode n’est donc pas la seule, mais permet de s’inspirer pour ce genre de réalisation plutôt complexe.
Ceci correspond également à une construction unitaire et avec des machines-outils conventionnelles. Donc pas de CNC ni de série.
C’est peut-être futile comme remarque, mais maintes fois constatés sur le terrain : il faut travailler décontracté, l’esprit clair et reposé. Ne pas avoir fait d’effort physique avant et ne pas avoir bu de boissons excitantes ou énergisantes.
Bien étudier les plans et se construire le scénario d’usinage, ou mieux dis : la séquence.
Plus on avance dans les travaux et plus les “passes“ doivent diminuer.
En d’autres mots, au début, des passes de 1mm à la fraiseuse ne sont pas choquantes. Mais vers la fin, un dixième peut paraitre excessif.
“Travaillez“ une seule cote à la fois. Le fait de se concentrer sur plusieurs cotes à la fois, induit immanquablement à des erreurs. Et plus on avance, plus les erreurs se paye cher.
(Ph 1 1&2) Pour ce vilebrequin, je suis parti d’un bloc de 42CrMo4 de 300x60x20mm et 2850gr brut.
La première chose à faire est la mise à longueur définitif, soit 292mm.
(Ph 1 3) Puis tracer les six centres des trois axes virtuels du vilebrequin, soit l’axe mère et les deux axes des manetons de bielles.
Personnellement, je me suis servi de ma DRO pour un maximum de précision, mais un soigneux traçage au trusquin est tout aussi bon. Remarque, à ce stade une quelconque erreur d’un dixième de millimètre est parfaitement tolérable. En effet, dans le pire des cas, un cylindre ou deux auront deux dixièmes de course en plus. Quant à l’équerrage de la bielle, l’erreur ramenée en décalage angulaire sera parfaitement négligeable
LeZap
La méthode présentée correspond à mon parc de machines-outils et peut donc différer d’une personne à l’autre. Cette méthode n’est donc pas la seule, mais permet de s’inspirer pour ce genre de réalisation plutôt complexe.
Ceci correspond également à une construction unitaire et avec des machines-outils conventionnelles. Donc pas de CNC ni de série.
C’est peut-être futile comme remarque, mais maintes fois constatés sur le terrain : il faut travailler décontracté, l’esprit clair et reposé. Ne pas avoir fait d’effort physique avant et ne pas avoir bu de boissons excitantes ou énergisantes.
Bien étudier les plans et se construire le scénario d’usinage, ou mieux dis : la séquence.
Plus on avance dans les travaux et plus les “passes“ doivent diminuer.
En d’autres mots, au début, des passes de 1mm à la fraiseuse ne sont pas choquantes. Mais vers la fin, un dixième peut paraitre excessif.
“Travaillez“ une seule cote à la fois. Le fait de se concentrer sur plusieurs cotes à la fois, induit immanquablement à des erreurs. Et plus on avance, plus les erreurs se paye cher.
(Ph 1 1&2) Pour ce vilebrequin, je suis parti d’un bloc de 42CrMo4 de 300x60x20mm et 2850gr brut.
La première chose à faire est la mise à longueur définitif, soit 292mm.
(Ph 1 3) Puis tracer les six centres des trois axes virtuels du vilebrequin, soit l’axe mère et les deux axes des manetons de bielles.
Personnellement, je me suis servi de ma DRO pour un maximum de précision, mais un soigneux traçage au trusquin est tout aussi bon. Remarque, à ce stade une quelconque erreur d’un dixième de millimètre est parfaitement tolérable. En effet, dans le pire des cas, un cylindre ou deux auront deux dixièmes de course en plus. Quant à l’équerrage de la bielle, l’erreur ramenée en décalage angulaire sera parfaitement négligeable
LeZap