Y
yvon29
Compagnon
Bonjour
@Alex31 , Gege demande bien «sans faire de dissection » ( ben oui, la pièce est morte, non ??? )
Je ne pense pas qu'on puisse visualiser l'intérieur de la matière hormis les discontinuités franches ( vides, fissures...).
L'acier des lames de ressort des Dauphine ( expérience personnelle...) était super pour tout faire....
On le forgeait pour le mettre droit, pour le former bien sûr, puis TTh.
Par contre, je bricolais souvent ( 1975... ) avec et pour des menuisiers, on n'a jamais utilisé ces lames de ressort pour tailler des fers de toupie...
D'accord,à l'époque ont devait trouver du fer au mètre partout, mais certains n'étaient pas riches...
Je pense que l'acier de ces ressorts ne devait par tenir bien le fil, parce que l'arete de coupe est « relevée » avec un brunissoir.
La question qui reste en suspens:
comment connaitre le sens du "fibrage" réel sur une pièce finie, sans essai destructif?
@Alex31 , Gege demande bien «sans faire de dissection » ( ben oui, la pièce est morte, non ??? )
Je ne pense pas qu'on puisse visualiser l'intérieur de la matière hormis les discontinuités franches ( vides, fissures...).
Notre ancien menuisier, qui façonnait ses fers de toupie, était toujours à la recherche d'une
lame de ressort de suspension ( voiture ancienne ) de largeur utile pour pouvoir l'affûter dans le bon sens, le sens du fil,
L'acier des lames de ressort des Dauphine ( expérience personnelle...) était super pour tout faire....
On le forgeait pour le mettre droit, pour le former bien sûr, puis TTh.
Par contre, je bricolais souvent ( 1975... ) avec et pour des menuisiers, on n'a jamais utilisé ces lames de ressort pour tailler des fers de toupie...
D'accord,à l'époque ont devait trouver du fer au mètre partout, mais certains n'étaient pas riches...
Je pense que l'acier de ces ressorts ne devait par tenir bien le fil, parce que l'arete de coupe est « relevée » avec un brunissoir.