je viens, je pose une question hyper vague, puis plus de nouvelles.....sans plus d'informations sur l'utilisation, impossible de répondre........épaisseur, choc mécanique, statique ou dynamique, quel gaz compose le flux chaud......
les personnes posent une question, et apres plus de nouvelle d'eux !...
pas trés sympa . mais bon ...
pas trés sympa . mais bon ...
il doit me rester 2 a3 kgs en lingotins a couler ;je le coulai en fondeuse a induction entre 1420 a1480 degres ;des connards avait commence a demonter la fondeuse pour la transporter je vais essayer de la vendre a connaisseur ou au poids vu les kgs de cuivre et une deco avec la grosse lampe en retirant les plaques de Faraday qui entour la lampe
Dernière édition:
Toutes les informations du demandeur sont dans le titre, recherche d'un métal...Pour moi, c'est de moins en moins clair.
je pense que la solution doit être du coté des matériaux de turboréacteur: copier collé de wikipedia au sujet du M53:
Le rotor est fabriqué en alliage réfractaire (NW12KCA). En sortie de turbine, la pression passe de 9 bar à 3 bar, tandis que la température passe, elle, de 1 327 °C à 850-900 °C.
... j’espère que le monsieur a des sous
voir aussi: http://s550682939.onlinehome.fr/70ans_SF2M/Conferences_70ans/5-Guédou_70ans_SF2M.pdf
Turbine
Elle est de type axiale et est constituée de deux étages, entraînant l'arbre des rotors haute et basse pression. Elle est précédée d'un distributeur consistant en un disque doté d'ailettes creuses, refroidies par l'air du flux secondaire1. Celui-ci oriente le flux de gaz issu de la chambre de combustion.Le rotor est fabriqué en alliage réfractaire (NW12KCA). En sortie de turbine, la pression passe de 9 bar à 3 bar, tandis que la température passe, elle, de 1 327 °C à 850-900 °C.
... j’espère que le monsieur a des sous
voir aussi: http://s550682939.onlinehome.fr/70ans_SF2M/Conferences_70ans/5-Guédou_70ans_SF2M.pdf
Température des ailettes refroidies par l'air du double flux, via des canaux internes, probablement très inférieure à 1327°C.
Alors si tu as compris le rapport entre le message de Montfort95 et le titre, je te serai reconnaissant d'expliquer parce que je ne vois pas.
page 11 :
1200 c'est pas gagné...
page 27 : on estime que le max atteignable avec les superalliages Ni est de 1150
Bonjour,
J'ai cru comprendre qu'il a 2 à 3kg de Chrome Cobalt Molybdene et un four à induction en mauvais état à vendre.
c'est ce que j'ai dit, il faut un cooling actif de la piece qui reçois la "chaleur" sinon ...
re bonsoir non ce n est pas le four mais la fondeuse a induction plus de 200 kilos partiellement demonte pour la transporter ; elle me fondait 800 grs de chrome cobalt molybdene a l etat liquide en moins d une minute pour couler par centrifugation ;un ami voulait recuperer des elements pour se faire une forge j ai refuser vu son manque de connaissance face aux rayonnements tres dangereux c est clair ?
en effet, mais le graphique s’arrête avant 2000, et c'est une communication publique
ce que je voulais dire est que cet objectif d'une temperature de travail à 1200°C est un peu "edge". durement si c'est pour une action mécanique, un peu moins si c'est pour de la thermodynamique sans trop de contact (on peut alors ajouter un revêtement barrière)
Oui, je suis d'accord avec toi. Mais même si cette communication a 10 ans, pour trouver des superalliages monocristallins (pour gagner 100 degrés), à mon avis, ca doit pas être une mince affaire !
Bonsoir
On ne les trouve pas
On led fait soi même...
D'où l'utilité :
- d'un labo métallurgie très très développé
- nombreux personnels dont de nombreux thésards
- capacités de tests en condition donc à 1200 degres et plud
- une usine de production
- €€€
Et donc une clientèle
On ne les trouve pas
On led fait soi même...
D'où l'utilité :
- d'un labo métallurgie très très développé
- nombreux personnels dont de nombreux thésards
- capacités de tests en condition donc à 1200 degres et plud
- une usine de production
- €€€
Et donc une clientèle
juste acheter l'alliage assez pur pour ensuite pouvoir espérer une solidification monocristal ...
Au labo, très basse pression et flux d'argon ou hydrogène purifié (pas de trace d'eau). Le moly ne dure pas longtemps, il devient très cassant à la première chauffe.
À vous
À vous
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