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Vous n'êtes pas obligé d'écouter le discours commercial des vidéos mais juste constater la qualité des impressions.
Vous pouvez aussi écouter ce qui se dit à demi-mot. Peu importe comment c'est tourné, les images, photos, screenshots, démos sont celle du produit.
Quand vous allez acheter une voiture vous vous faites bien assommer par le commercial et pourtant vous vous êtes fait une idée par vous-même d'après ce que vous avez vu.
Le plus gros risque c'est leur plateforme fermée qu'ils disent ouverte (pour le moment), en dehors de ça c'est clairement une tuerie qui écrase la concurrence. Tout comme DJI a écrasé la concurrence dans le monde des drones (rien d'étonnant vu que ce sont les mêmes).
Bonjour
Ou est le problème quand c est top. Cette machine est une nouvelle référence point.
Machine sans problème. La x1 carbone sans hésiter pour le lidar, chambre regulee et autre.
Il y a des utilisateur très satisfait sur ce forum.
Ftx
Depuis quelques mois, j'ai adopté la P1S. Ce que j'apprécie particulièrement, c'est sa facilité d'utilisation dès la mise en place. Les problèmes sont rares et, lorsqu'ils surviennent, ils se résolvent rapidement.
L'AMS est très pratique, notamment pour les petites bobines de 700g, ce qui permet d'utiliser plusieurs bobines sans stresser à l'épuisement de l'une d'entre elles. De plus, bien que je n'aie pas encore testé le multi-couleur, je trouve que cela pourrait être intéressant pour certains projets.
Je tiens à souligner l'excellence de leur version repackagée du Prusa-Slicer, appelée "Bambu-Studio". En résumé, la qualité est au rendez-vous et le prix reste raisonnable.
À vrai dire, opter pour deux P1S plutôt qu'une X1 semble presque plus avantageux, sauf pour l'impression de filaments techniques très chauds, mais même dans ce cas...
Il va falloir garder un œil là-dessus, je sais pas si c'est du flan mais si toutes les fonctionnalités sont préservées et que la fiabilité et les performances de la machine restent intactes ça pourrait libérer l'imprimante de ses contraintes.
Je doute quand même que Bambu laisse faire et leur dernière MàJ est justement encore plus verrouillée apparemment.
Il va falloir garder un œil là-dessus, je sais pas si c'est du flan mais si toutes les fonctionnalités sont préservées et que la fiabilité et les performances de la machine restent intactes ça pourrait libérer l'imprimante de ses contraintes.
Je doute quand même que Bambu laisse faire et leur dernière MàJ est justement encore plus verrouillée apparemment.
On ne voit même pas la machine tourner !
Si ça se trouve le bouffon a juste changé l'image de présentation et strictement rien d'autre.
Admettons qu'il ait changé le firmware :
C'est ridicule !
Quel est l'intérêt d'avoir un firmware custom sur une machine pareille ?
La BambuLab a des logiciels particuliers parce qu'elle a également des capteurs particuliers comme le laser qui mesure le trait d'essai avant de lancer effectivement l'impression.
Quand elle se lance elle fait des traits d'essai, mesure et adapte.
Le contrôle de vibrations et le linear advance mais sans avoir à se prendre le chou vu que le bouzin sait régler ça tout seul avec une mesure laser à 5 microns de l'épaisseur de trait.
La vidéo la plus réaliste que j'ai vu à propos de cette imprimante c'est celle de Eskice Miniature
Il l'a payée de ses deniers et en fait un usage professionel pour fournir des clients.
La vidéo n'est pas le unpack mais un bilan après 3000H d'utilisation.
Il est dubitatif à propos de l'impression en multibobines, montre des résultats pas très convainquants dans ce cas et surtout un problème de déchets du aux filaments perdus lors du changement de fil.
D'après lui ça n'imprime pas mieux que la plupart des FDM bien réglées mais beaucoup plus vite.
Faut dire que le monsieur a du métier et qu'il a déjà bien peaufiné les réglages des FDM en sa possession.
Sur cette vidéo on voit un arbre imprimé en 3D sans supports.
Vu la pente de la partie gauche c'est vraiment pas mal !
C'est grosso modo ce qui se dit sur la plupart des vidéos que j'ai vu jusqu'ici.
La perte de filament y'a des actuces et des réglages pour les limiter apparemment.
Le gros avantage avec cette machine est le plug&play, la qualité d'impression on l'a à la sortie du carton. Pas besoin de passer des heures/jours/semaines/mois (en fonction de l'expérience de l'utilisateur) à régler plus ou moins bien sa FDM.
Un firmware custom, d'après ce que j'ai compris, donne accès aux paramètres et fonctionnalités cachées.
Dans l'absolu ça permet(trai) de tirer tout le potentiel de la machine.
De mon point de vue, ça permettrait de déplomber l'imprimante si jamais Bambu se décide un jour à verrouiller ses logiciels sur base d'abonnement. Toutes les bambu se verraient inutilisables par ceux qui ne veulent pas payer.
C'est assez peu probable mais je me méfie tout de même des idées des quelques requins qui dirigent les boites de ce genre.
C'est grosso modo ce qui se dit sur la plupart des vidéos que j'ai vu jusqu'ici.
Un firmware custom, d'après ce que j'ai compris, donne accès aux paramètres et fonctionnalités cachées.
Dans l'absolu ça permet(trai) de tirer tout le potentiel de la machine.
Pour ma part j'avais hésité avec une bambulab, mais je viens de craquer pour la crealty K1C qui me semble très bien et qui est moins couteuse ; j'en ai pour 553 euros en précommande. Il était temps que je remplace ma vieille machine toute déglinguée.
Discussion récente avec un copain de Fablab : "Alors, ta X1 Carbon ?"
- Ben, 350 heures plus tard, après l'avoir démontée, passé du temps avec le SAV, j'ai fini par la revendre.
- Qu'est-ce qu'elle avait ?
- Au début, j'étais ravi, pièces nickel, mais au fur et à mesure, des petits décalages sont apparus. On m'a fait nettoyer les axes, recalibrer, fourni un nouveau firmware, qui a abouti à ce que j'avais moi-même remarqué : en baissant nettement les vitesses, il y a du mieux.
Pour lui, la machine reste limitée de par sa conception : un seul moteur pour le Y (plateau) et une courroie qui fait le tour. Synonyme de mise en crabe à ces hautes vitesses.
Pour le reste, logiciel, plug and play, multicouleurs, il ne trouve rien d'autre rien à redire à cette machine. Il attend maintenant sa XL, annoncée pour le printemps.
Pour lui, la machine reste limitée de par sa conception : un seul moteur pour le Y (plateau) et une courroie qui fait le tour. Synonyme de mise en crabe à ces hautes vitesses.
Mouais, c'est pas cohérent.
Il y a bien 2 moteurs pour X et Y.
Un seul moteur pour Z mais synchronisé sur 3 points donc aucune chance de partir en crabe à moins de péter la courroie de synchro.
La XL Prusa, qu'il a commandée il y a un an. Et avec l'attente à rallonge, pour meubler, il a pris la X1 Bambulab.
Pour les questions de courroie, je n'ai fait que relayer ses arguments, ne connaissant pas la machine, je ne peux argumenter, désolé.
En fait, je l'ai revu hier. Le gars qui a acheté sa machine en est tellement content qu'il en a commandé une 2e, neuve (maislles délais sont bien plus longs en ce moment) - "Mais alors, elle tourne bien ta machine
- Pour des pièces courantes, oui, mais quand tu veux faire vraiment dans le détail, avec des buses de 0.20 (ou 0. 25, de mémoire), ça ne suit plus."
J'ai vu ce qu'il arrive à sortir avec sa Creality à moins de 500 €, des protos de montre, c'est bluffant de réalisme. Avec du PLA... Alors, quand il me dit qu'il n'arrive pas à obtenir le même résultat avec le X1, j'ai tendance à le croire.
Pour imprimer en 0.2 il ne suffit pas de changer la alrgeur de trait et la hauteur de couche.
Il faut aussi monter mla température et refaire l'étude pour les surplombs, pontages et supports.
En impression FDM plus tu réduis la buse et moins tu as de filaments qui y arrivent.
Plus tu réduis et plus la liaison intercouches est pourrie avec des productions plus fragiles.
En dessous de 0.25 ça commence à devenir vraiment trop casse gueule.
Oui, oui, les divers paramètres de rétractation, la vitesse volumétrique (pression dans la buse), la température... il m'a dit y avoir passé des heures pour affiner les paramètres du slicer pour la Creality (Cura et Prusa) et il arrive à lui faire sortir ce qu'il souhaite vraiment.
Sa dernière lubie (qui semble fonctionner) : utiliser du PETG juste pour l'interface entre les supports organiques et la pièce. Apparemment, le PETG n'adhère pas au PLA mais suffit à supporter la pièce pour l’impression. Avantage : aucune trace une fois les supports enlevés.
Le PETG en support c'est pas con pour ceux qui ont une imprimante à 2 têtes.
Et puis l'inverse doit surementbien marcher aussi.
A mon avis bosser sur plusieurs slicer c'est du masochisme.
Vaut mieux rester sur un seul et unique logiciel parce qu'établir un profil complet c'est vraiment très couteux.
Un profil complet c'est le débit, les surplombs, les pontages, la limite de surplombs et les supports qui doivent servir à quelquechose mais sans devenir des verrues.
Quand tu as fait tout ça pour un filament précis sur un logiciel faut vraiment être maso pour recommencer tout le cycle sur un autre.
Il existe aussi un filament spécifique pour ça, qui se solubilise dans l'eau. Il coute un peu cher, mais comme on en utilise très peu la bobine dure longtemps :
Le BVOH, Butenediol Vinyl Alcohol Co-polymer, est un matériau support, dit fusible, qui s’utilise comme support dans le cadre d’une impression à double extrusion. Comme le filament PVA il est soluble dans l’eau. Sa dissolution est plus rapide. Il convient très bien en combinaison avec de l’ABS...
pour moi la bambu lab X1 c'est un usage commercial d'un firmware opensource , de base c'est Klipper qui tourne la dessus ( et qui peu une fois configuré faire pareil voir mieux ) il y a eu une discussion la dessus ,comme quoi la marque a usé de klipper pour modifier et vendre a leur noms et ou klipper n'avais pas donner d'accord !
cela dit c'est une bonne imprimante grâce a klipper ! qui est LE firmware ultime , même si il demande plus de matos (rpi4+carte mère 32bit)
sans klipper c'est une imprimante "classique" , en gros c'est une voron améliorée et "ready to go"
@MegaHertz Il ne s'agit pas d'utiliser le PETG pour la totalité des supports, compte-tenu que l'imprimante n'a qu'un seul extrudeur.
Le changement de fil PLA/PETG n'intervient que lorsque le support arrive à la proximité de la pièce à imprimer, pour la seule interface d'une ou deux couches entre le support et la pièce.
Perso, j'utilise Prusa Slicer avec ma MK3S, et je n'ai rien trouvé, je pense qu'il s'agit d'une option dans Cura.
@Dudulle S'il a testé le couple PLA/PETG, c'est bien parce que l'usage du filament soluble est assez contraignant (pompe à humidité). Pareil, semble-t-il, pour le PETG renforcé carbone. Il m'a confié avoir été dans l'impossibilité de sortir une pièce avant de l'avoir passé au deshydrateur.