G
Gihor
Nouveau
Je ne vais pas réécrire ce que d’autres ont déjà publié mais préciser les modifications apportées par rapport aux modèles précédents ou les problèmes rencontrés au cours du démontage. Je tiens à préciser que je ne suis pas un pro et donc les termes employés ne seront peut-être pas appropriés.
Ma 13 correspond au modèle 1972 publié par @youri sur le forum avec les roulements coniques sur le long rouleau du bélier, alors que sur le modèle 1978 ils ne le sont plus.
Je vous fais une présentation rapide de ma 13. Elle a l’armoire électrique sur le côté droit, le bac d’arrosage est suspendu à l’arrière et surmonté de sa pompe. Il n’y a plus aucun graisseur (huileur ?), sur mon modèle la lubrification centralisée se fait par le champignon pour l’intérieur de la fraiseuse et par une pompe à levier située en dessous qui lubrifie par l’intermédiaire de petits tuyaux de cuivre toute la coulisse verticale et pignons. Contrairement aux modèles plus anciens certaines parties doivent être graissées selon le plan dispo sur le forum : roulements de la tête verticale, axe des X … Sur le pourtour se fixe un bac incliné de récupération de l’huile de coupe et copeaux. La vis du longitudinal est protégée de chaque côté de la table par un genre de ressort enroulé qui peut se comprimer ou s’étirer. La boîte des avances est un peu différente avec ses deux molettes coaxiales pour modifier les vitesses.
Lorsque j’ai acheté cette fraiseuse je suis allé la chercher avec un fourgon, la personne qui me l’a aimablement chargée avec un élévateur m’a laminé avec ses fourches les gaines adaptaflex qui passent sous la fraiseuse. De ce fait elle est restée au fond d’un garage pendant près de deux ans. Elle était dans son jus.
Quand j’ai entrepris le démontage, l’intérieur de la fraiseuse était recouvert d’une couche assez épaisse de cambouis, je n’y voyais pas grand-chose, j’ai réussi à retirer le moteur principal et j’ai pris la décision de basculer la fraiseuse en avant pour accéder plus facilement au dessous. Mais avant de la coucher avec une chèvre je me suis dit qu’il valait mieux par précaution l’alléger. J’ai retiré l’armoire électrique en repérant le câblage, la tête verticale, le bélier attention au joint cuir il faut enlever la noix, le lardon et élever la table au niveau du bélier le faire reposer sur la table, l’élever un peu pour préserver le joint et le sortir complètement. Il me fallait encore enlever la table, le longitudinal, la vis et son support des Z, le levier de commande et la pédale des avances. Mais au fur et à mesure que je démontais, vu l’état je continuais de démonter et de fil en aiguille j’ai pratiquement tout démonté.
Ma 13 correspond au modèle 1972 publié par @youri sur le forum avec les roulements coniques sur le long rouleau du bélier, alors que sur le modèle 1978 ils ne le sont plus.
Je vous fais une présentation rapide de ma 13. Elle a l’armoire électrique sur le côté droit, le bac d’arrosage est suspendu à l’arrière et surmonté de sa pompe. Il n’y a plus aucun graisseur (huileur ?), sur mon modèle la lubrification centralisée se fait par le champignon pour l’intérieur de la fraiseuse et par une pompe à levier située en dessous qui lubrifie par l’intermédiaire de petits tuyaux de cuivre toute la coulisse verticale et pignons. Contrairement aux modèles plus anciens certaines parties doivent être graissées selon le plan dispo sur le forum : roulements de la tête verticale, axe des X … Sur le pourtour se fixe un bac incliné de récupération de l’huile de coupe et copeaux. La vis du longitudinal est protégée de chaque côté de la table par un genre de ressort enroulé qui peut se comprimer ou s’étirer. La boîte des avances est un peu différente avec ses deux molettes coaxiales pour modifier les vitesses.
Lorsque j’ai acheté cette fraiseuse je suis allé la chercher avec un fourgon, la personne qui me l’a aimablement chargée avec un élévateur m’a laminé avec ses fourches les gaines adaptaflex qui passent sous la fraiseuse. De ce fait elle est restée au fond d’un garage pendant près de deux ans. Elle était dans son jus.
Quand j’ai entrepris le démontage, l’intérieur de la fraiseuse était recouvert d’une couche assez épaisse de cambouis, je n’y voyais pas grand-chose, j’ai réussi à retirer le moteur principal et j’ai pris la décision de basculer la fraiseuse en avant pour accéder plus facilement au dessous. Mais avant de la coucher avec une chèvre je me suis dit qu’il valait mieux par précaution l’alléger. J’ai retiré l’armoire électrique en repérant le câblage, la tête verticale, le bélier attention au joint cuir il faut enlever la noix, le lardon et élever la table au niveau du bélier le faire reposer sur la table, l’élever un peu pour préserver le joint et le sortir complètement. Il me fallait encore enlever la table, le longitudinal, la vis et son support des Z, le levier de commande et la pédale des avances. Mais au fur et à mesure que je démontais, vu l’état je continuais de démonter et de fil en aiguille j’ai pratiquement tout démonté.