J
j.f.
Compagnon
Bonsoir à tous.
Je me pose pas mal de questions sur la façon dont sont reprises les coulisses d'un banc primatique et du trainard qui va dessus.
Le décor : à l'avant du banc, une glissière prismatique de profil triangulaire isocèle (90° au sommet). A l'arrière, un plan de glissement. On néglige les plans de dessous pour simplifier.
Le trainard, c'est simple puisqu'il suffit d'un rond rectifié de diamètre connu, d'un marbre, et avec un peu de trigo on peut calculer cette hauteur. C'est certainement jouable avec une fraiseuse. Et compte tenu de la rigidité d'un trainard, il doit être posible de le brider et de l'usiner sur une table moins large que lui, en porte à faux.
Mais sur un banc, comment faire ? Déjà pour mesurer. Avec un vé dont on détermine au préalable la distance arrête du vé / face opposée (rond + trigo) ?
Et une grande question :
Existe-t-il, à partir d'un trainard "remis à neuf", une technique d'autorectification de la machine ? Je veux dire par là une méthode consistant à placer et orienter une tête de rectification avec une meule fixée au trainard, puis, par passes successives, de converger vers une géométrie parfaite ? Ou encore d'arriver à la même chose en transformant en quelque sorte le trainard en bélier d'étau limeur ?
Le premier obstacle que j'y vois est que déjà un isostatisme ne peut pas être respecté. Alors l'hyperstatisme encore moins (cas d'un trainard parfait sur un banc parfait). Ca risque d'être très bancal.
La question n'est pas tout à fait farfelue. On m'a parlé récemment d'un dispositif de ce genre, opérationnel, mis au point en interne par les gratteurs du coin... Mais je ne vois pas comment ça peut marcher. C'est peut-être fixé sur le banc, sans appui sur les glissières.
Et comment rectifie-t-on le banc d'un très grand tour ? J'imagine qu'on ne charge pas la machine qui a besoin d'une révision sur une péniche pour le faire rectifier ailleurs.
(ici, il n'est pas question de grattage - c'est un autre sujet)
See whotta mean ?
Non, pas l'intention de monter la disqueuse sur le trainard pour lui faire faire des allers et retours.
Je me pose pas mal de questions sur la façon dont sont reprises les coulisses d'un banc primatique et du trainard qui va dessus.
Le décor : à l'avant du banc, une glissière prismatique de profil triangulaire isocèle (90° au sommet). A l'arrière, un plan de glissement. On néglige les plans de dessous pour simplifier.
Le trainard, c'est simple puisqu'il suffit d'un rond rectifié de diamètre connu, d'un marbre, et avec un peu de trigo on peut calculer cette hauteur. C'est certainement jouable avec une fraiseuse. Et compte tenu de la rigidité d'un trainard, il doit être posible de le brider et de l'usiner sur une table moins large que lui, en porte à faux.
Mais sur un banc, comment faire ? Déjà pour mesurer. Avec un vé dont on détermine au préalable la distance arrête du vé / face opposée (rond + trigo) ?
Et une grande question :
Existe-t-il, à partir d'un trainard "remis à neuf", une technique d'autorectification de la machine ? Je veux dire par là une méthode consistant à placer et orienter une tête de rectification avec une meule fixée au trainard, puis, par passes successives, de converger vers une géométrie parfaite ? Ou encore d'arriver à la même chose en transformant en quelque sorte le trainard en bélier d'étau limeur ?
Le premier obstacle que j'y vois est que déjà un isostatisme ne peut pas être respecté. Alors l'hyperstatisme encore moins (cas d'un trainard parfait sur un banc parfait). Ca risque d'être très bancal.
La question n'est pas tout à fait farfelue. On m'a parlé récemment d'un dispositif de ce genre, opérationnel, mis au point en interne par les gratteurs du coin... Mais je ne vois pas comment ça peut marcher. C'est peut-être fixé sur le banc, sans appui sur les glissières.
Et comment rectifie-t-on le banc d'un très grand tour ? J'imagine qu'on ne charge pas la machine qui a besoin d'une révision sur une péniche pour le faire rectifier ailleurs.
(ici, il n'est pas question de grattage - c'est un autre sujet)
See whotta mean ?
Non, pas l'intention de monter la disqueuse sur le trainard pour lui faire faire des allers et retours.